ENTRELAZAMIENTO DE CIRCUNSTANCIAS Y SENTIMIENTOS - TOMÁS I.N. NOVATIVE - PARIS III.
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Paris III Comment s'y prendre pour que notre esprit et notre cœur soient en harmonie et nous permettent d'avoir de meilleures idées ? Cela, en relation avec "ce que nous devrions faire", d'après nos projets. Qu'est ce qui serait pertinent de voir, de visiter et d'observer maintenant ? Se demandèrent les quatre dames.
Elles avaient un doute, parce qu'elles souhaitaient continuer à visiter des musées et des sites intéressants, mais elles sentaient qu'elles avaient besoin de "quelque chose de plus". Leurs pensées s'étaient principalement portées sur les magnifiques peintures et sculptures qu'elles avaient admirées de si près.

— Si tu penses à quelque chose... Fais-le ! À quoi devions-nous penser ? demanda Marcella aux autres dames.
— Cette nuit, j'ai mis beaucoup de temps à m'endormir et j'ai réfléchi. Je me suis souvenue qu'avant de programmer ce voyage, j'avais lu des articles sur Sainte Catherine et la chapelle de la Médaille miraculeuse, au 140 de la rue du Bac. Et nous n'en avons pas encore parlé ! Nous étions à Paris et pensions... — Et si nous allions là-bas prier notre Seigneur ? répondit Raquel.
— Oui ! répondirent à l'unisson Elizabeth, Marcela et Cecilia. Prenons un taxi dont le chauffeur est sud-américain et indiquons-lui que nous voulons visiter cette chapelle.
— Nous avons hélé un taxi et nous lui avons demandé s'il parlait espagnol. Nous lui avons expliqué, dans notre mauvais français, que nous le prendrions s'il parlait espagnol. Dans le cas contraire, non, parce que nous ne parlions pas le français. Et c'était un colombien ! raconte Cecilia aux amis du vendredi.
— Il nous demanda de lui parler en espagnol et nous dit que notre français n'était pas très bon !
— Nous lui avons dit que nous connaissions un peu son pays parce que nous avions une petite-nièce qui joue très bien de la marimba. Elle a vécu deux ans en Colombie et elle a créé en Argentine le groupe "Mangoviche". Elle s'appelle Eliana, précise Cecilia.
Le chauffeur les conduisit à la Chapelle Notre-Dame-de-la-Médaille-Miraculeuse, dans le septième arrondissement. Sur le trajet, Elizabeth leur lut un petit fascicule sur Sœur Catalina Labouré.
— Catherine est née dans un petit village de Bourgogne en 1806, Fain-lès-Moutiers. En janvier 1830, elle était postulante chez les Sœurs de la Charité.
— Trois mois plus tard, elle entrait au séminaire de la rue du Bac. Là-bas, Catherine eut trois apparitions de la Vierge Marie.
— La première, ce fut la nuit du 18 juillet. Ce jour-là, Catherine vit la Vierge assise sur un fauteuil du chœur de la chapelle. La Vierge lui dit que ce serait à elle de veiller à ce qu'une médaille soit créée. Quiconque l'honorerait avec ferveur pourrait demander des grâces, elles lui seraient accordées !
— La deuxième apparition eut lieu le 27 novembre. La Sainte Vierge lui précisa les détails de sa fabrication. Une médaille de forme ovale avec un certain dessin particulier et cette inscription : « Marie, conçue sans péché originel. »
— La troisième apparition, fut en décembre de la même année, 1830. La Vierge lui confirma ce qu'elle lui avait déjà dit. Elle lui dit qu'elle ne la verrait plus. Ce jour là prirent fin les apparitions de la Vierge Marie à Catalina.

Le chauffeur de taxi leur dit qu'elles arrivaient à la "chapelle de la Médaille miraculeuse", au 140 rue du Bac. Et il leur raconta ce qu'il savait à propos de Sœur Catalina.
— Sœur Catalina voyait le Christ dans l'hostie et elle vit en songe le père des filles de la charité, Saint Vincent de Paul.
— En 1832, avec l'autorisation de l'archevêque de Paris, les premières médailles furent frappées.
— On les nomma "la médaille de l'Immaculée" ou "la médaille miraculeuse".
— En quelques années, de 1836 à 1838, furent frappées presque dix millions de médailles aux États-Unis, en Pologne, en Chine, en Russie et en Afrique.
— Catherine mourut le 31 décembre 1876.
— Son premier miracle eut lieu, devant la foule rassemblée, au 140 rue du Bac. Cela advint autour de son cercueil. Un garçon de 12 ans, dans une voiturette à roulettes, handicapé de naissance, à son arrivée... Il s'est levé !
— En 1933, le corps de Sainte Catherine Labouré a été retrouvé intact puis transféré dans cette chapelle.
— Catherine a été sanctifiée par Pie XII, le 27 juillet 1947.

— Nous sommes entrées dans la chapelle très excitées ! Nous avons été surprises de la voir aussi sobre et austère. Les murs bleu ciel. Aucune orfèvrerie en argent ou en or. Les prêtres étaient, nous a-t-il semblé, d'origine africaine.
— Les religieuses également. Il n'y avait qu'un seul prêtre à la peau claire. Ce jour-là, la plupart des fidèles étaient également d'origine africaine, raconte Cécilia.
— Il y avait un long couloir carrelé, sur la gauche de la chapelle, et le mur était couvert de plaques, médailles et d'autres objets. Tous, en guise de reconnaissance pour les grâces accordées.
— Il y avait une image de Saint Vincent de Paul, un prêtre qui a vécu il y a 400 ans, de 1581 à 1660. À cette époque, il y avait une terrible épidémie de choléra. Vincent, le prêtre, a réuni des paysannes ou des villageoises, issues des familles pauvres de la ville. Ils rendaient visite aux malades et aux personnes en difficulté. C'est là l'origine des religieuses nommées Filles de la Charité, ou, également Sœurs de Saint Vincent de Paul. Sœur Catherine était entrée chez les Sœurs de la charité, à 25 ans et c'est là que lui apparut la Vierge Marie.
— La messe fut un moment de grande émotion. En sortant de la chapelle, nous avons échangé quelques mots avec les sœurs. Elles nous donnèrent d'autres détails sur la chapelle elle-même et nous bénirent. Elles ont aussi béni les médailles que nous avions achetées. Les sœurs sont autorisées à bénir.
— Ce jour-là fut vraiment très spécial pour nous ! — poursuit Cécilia.
— En partant, nous avons traversé quelques pâtés de maisons, jusqu'à tomber sur une confiserie. Nous voulions prendre un café et surtout discuter de cette belle visite qui nous avait marquées. Nous avions vu la tombe de Catherine sous la statue de la Vierge au Globe. La voir intacte sous l'autel fut impressionnant. Près d'elle se trouve le vieux fauteuil, où la Vierge lui était apparue assise. Incroyable ! Ce fut le moment le plus émouvant de notre voyage !
— Nous avons poursuivi la visite de Paris. Le lendemain, nous nous sommes rendues sur la tombe du grand héros du peuple français, dont le fils est inhumé à ses côtés. De plus, les sépultures de ses proches parents sont également là, ainsi que celles d'autres grandes gloires françaises. Je veux parler de Napoléon Bonaparte et de son fils, Napoléon II.
— Ils sont dans la crypte du Dôme des Invalides, dit Elizabeth en sortant un carnet de sa poche. J'avais prévu de raconter ces circonstances et j'ai écrit un petit texte. Elle commence à lire : « Le 5 mai 1821, Napoléon Ier meurt à Sainte-Hélène, où il était en exil. Des années plus tard, les français obtinrent l'autorisation de l'Angleterre pour rapatrier ses restes. C'était en septembre 1840. Le sarcophage fut transporté jusqu'au Havre sur un bateau français. Puis, jusqu'à Paris, sur la Seine. A Paris, il passa sous l'Arc de Triomphe, puis sur les Champs Élysées, jusqu'aux églises des Invalides. Ses restes se trouvent dans six cercueils : le premier en fer, puis en acajou, en plomb, en bois d'ébène et en chêne.
— Le sarcophage est en quartz de Finlande, une pierre rouge ressemblant au porphyre. Il est entouré de douze statues représentant la Victoire, dans la crypte du dôme des Invalides.
La cité des Invalides, au dix-septième siècle, était destinée à l'accueil des soldats vétérans et en mauvaise santé. Auparavant, ils étaient contraints de mendier pour survivre.
La cathédrale Saint-Louis des Invalides et l'église du Dôme, avec son grand dôme doré de 100 m de haut, furent érigées par la suite. Dans un jardin en face des bâtiments, des canons en bronze ainsi que deux chars allemands de 1944 furent installés. A l'intérieur se trouve le musée de l'armée de Paris, parmi d'autres édifices destinés à abriter d'autres musées.
— Nous sommes retournées au musée du Louvre, où nous nous sommes attachées à voir le plus possible d'œuvres d'art parmi toutes celles que nous n'avions pu admirer lors de notre première visite. Plus tard, nous sommes allées à la cathédrale Notre Dame. C'est l'un des monuments les plus importants de Paris. Pendant la révolution française, on l'appelait le "Temple de la Raison". Elizabeth ayant fini de lire ses notes, elle cède la parole à Raquel, qui va lire celles qu'elle a prises.
— Le fastueux couronnement de Napoléon empereur, en présence du pape Pie VII, eut lieu ici. Le temps et les guerres ont altéré son aspect original. Au Louvre un tableau représente le couronnement. C'est un authentique centre architectural et religieux. C'est un symbole de la nation, lié aux principaux événements de son histoire.
— La façade, divisée en trois parties par des contreforts, présente des lignes verticales. Horizontalement, deux galeries sur trois plans. Elle possède trois grands et profonds portails. Sa partie centrale comporte deux fenêtres grandioses encadrant une rosace garnie de vitraux de 10 m de diamètre. Ses proportions sont impressionnantes dès l'entrée : 130 mètres de long, 50 mètres de large et 35 mètres de haut, comme nous l'indique un panneau d'information. Decía también que tiene capacidad para 9000 personas. En la mayor de las islas del Sena, se construyó el primer núcleo civil y religioso, y muy pronto la Catedral.
—Fuimos luego a la Plaza de la Bastilla. Esa fortaleza fue el primero y más significativo objetivo, de la insurrección popular que estalló el 14 de julio de 1789. Era considerada como el símbolo del absolutismo monárquico. Entre los personajes que fueron encarcelados allí, habíamos visto en una película, un personaje singular, el recordado “Hombre de la máscara de hierro”. Donde estaba la fortaleza, se encuentra la Plaza de la Bastille. En ella se erige la Columna de Julio. En lo alto está colocada la estatua del Genio de la Libertad —cuenta Raquel.

Recuerda que, en la primera reunión de los viernes, en la que comenzaron a relatar su viaje a Europa, lo iniciaron con los recuerdos de París. Fue la primera ciudad que visitaron. Hicieron lo que planificaron. Para el comienzo habían previsto en primer término, visitar los museos, comenzando con el Louvre, y así lo hicieron.
Reconocen que Delacroix, se les “anticipó” a lo planificado. Habían ido para ver, en primer lugar, la “Gioconda”, luego la “Victoria de Samotracia” y la “Venus de Milo”.
Tomás, les había comentado, solamente a ellas, que le parecía que habían hablado demasiado de Claudio Monet... ¡Y tenía razón!
Se pusieron a pensar en ello y llegaron a la conclusión, que el verdadero valor de las cosas o de los hechos, no es siempre evidente. Es normal que alguien, no vea o sienta lo mismo que otros. Por desconocidas e infinitas variantes del existir, somos distintos. Posiblemente, se tienen más en cuenta algunos recuerdos, porque se habría tomado un mayor conocimiento de ellos.
En verdad, no deseaban fuese invisible a sus ojos, lo que habían planificado ver. ¡Y lo que deseaban observar, al poner mayor atención en lo que mirasen!
¡Sentirse vivos, animados y con objetivos, es esencial! Esencial, para motivarnos y poder pensar, como seres humanos. El agua es un componente esencial... ¡Para vivir! ¡Pero no vale la pena, pensar tanto en ello! ¿Qué es lo que vale la pena hacer? ¡En el agua no pensaron, durante el viaje! ¡Pensaban en lo que habían planificado, y deseaban disfrutar al verlo u observarlo! Entonces... ¡Debían ir a Giverny!
Encantador pueblo situado en la ladera de una colina, próximo a Vernon. Pensaron también que luego de lo dicho por Tomás, en relación con Monet, no creían imprescindible describir muchos detalles de esa visita.
Sólo mencionar la hermosa casa taller, las habitaciones, los jardines, el estanque, el puente japonés, su barca... ¡Su mundo familiar!
La inmensa obra de Claudio Monet se encuentra en numerosos museos y colecciones privadas. En Giverny se encuentran, la vivienda de Monet, otras obras de su autoría, talleres, salas de recepción, y enseres de su hermoso hogar. Compraron un libro, “Homenaje a C. Monet”.
Fue publicado en la primavera de 1980 para una de las exposiciones más prestigiosas de los Museos Nacionales, en el “Grand Palais”, de París. Lo trajeron para que pudiesen admirar las hermosas fotografías en relación con la vida y el constante trabajo de un gran pintor.
Elizabeth les dijo... ¡Que las impresiones “de sentimientos”, y no las “de reflexión”, las habían motivado a conocer más sobre Monet! ¡Y ellas habían tomado nota de sus sentimientos, en relación con el “Impresionismo”!
Tomás Gainsborough, un excelente pintor y grabador británico, pensaba distinto. Habían visto una pintura suya en el Louvre, en la segunda visita a ese museo. Fue uno de los intérpretes más destacados del paisaje, y pintar la belleza era su intención principal. ¡Según él, de otro modo no podía alcanzar la perfección! Pintaba con otro estilo, diferente al de Monet.
—Deseamos agregar, que luego del fallecimiento de su segunda esposa, Monet siguió pintando durante once años. Una operación de cataratas detuvo casi por completo su pasión por la pintura. Falleció cuatro años más tarde, el 5 de diciembre de 1926, a los 86 años. Su nuera Blanca, viuda de su hijo Jean, cuidó de él sus últimos doce años —finalizamos por hoy, concluyó Raquel.
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Ello, en relación con “lo que deberíamos hacer”, según nuestra planificación.
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¿Qué sería lo correcto ver, visitar, y observar ahora?
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Se preguntaron entre ellas, las cuatro damas.
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—Si cómo piensas... ¡Actúas!
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¿En qué, debíamos pensar?
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—preguntó Marcela a las otras damas.
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—Anoche, tardaba en conciliar el sueño y pensaba.
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¡Y ni la hemos mencionado anteriormente!
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—contestó Raquel.
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—¡Sí!
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—respondieron al unísono Elizabeth, Marcela y Cecilia.
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—Hicimos señas a un taxista y le preguntamos si hablaba español.
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Le explicamos, como pudimos, en francés, que si hablase español lo tomábamos.
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Caso contrario no, pues no hablábamos francés.
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¡Y era de Colombia!
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—cuenta Cecilia a los amigos de los viernes.
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Se llama Eliana —contó Cecilia.
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—Catalina había nacido en un pueblecito Fain les Moutiers, Borgoña en 1806.
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En enero de 1830, estaba de postulanta en la casa de las Hijas de la Caridad.
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—Tres meses más tarde ingresaba al Seminario de la rue du Bac.
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Allí Catalina tuvo tres apariciones de la Santa Virgen María.
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—La primera fue la noche del 18 de julio.
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Ese día Catalina vio a la Virgen sentarse en un sillón del coro de la Capilla.
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Le dijo que ella sería la encargada de lograr que se crease una medalla.
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¡Quien la honrara con fervor, podría solicitar gracias, y que serían concedidas!
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—La segunda aparición fue el 27 de noviembre.
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La Virgen le dijo cómo quería que fuese.
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Una medalla de forma ovalada con determinado diseño, y unas palabras sobre su concepción.
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“María, sin pecado concebida”.
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—La tercera aparición, fue en diciembre de ese año, 1830.
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Le ratificó lo que ya le había dicho.
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Le dijo que ya no la vería más.
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Ese día finalizaron las apariciones de la Virgen María a Catalina.
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Y les contó lo que sabía de Sor Catalina.
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—Que, en 1832, con licencia del arzobispo de París, se acuñaron las primeras medallas.
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—Que fueron llamadas, la Medalla de la Inmaculada, o la Medalla Milagrosa.
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—Que murió el 31 de diciembre de 1876.
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—Que hizo su primer milagro, ante la multitud agolpada en 140 rue du Bac.
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Fue en torno a su ataúd.
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—Que Catalina fue declarada Santa, por Pío XII, el 27 de Julio de 1947.
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—¡Entramos en la capilla muy emocionadas!
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Quedamos sorprendidas de verla tan sencilla y austera.
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Las paredes pintadas de color celeste.
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Sin objetos de plata ni de oro.
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Los sacerdotes eran, nos pareció, de origen africano.
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—Las Hermanas también.
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Había un solo sacerdote de tez clara.
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Los fieles asistentes en ese momento, la mayoría eran de ascendencia africana —cuenta Cecilia.
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Todos ellos, en agradecimiento por las gracias recibidas.
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En aquel entonces había una terrible epidemia de cólera.
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El sacerdote Vicente, reunió a campesinas o aldeanas, nacidas en familias pobres de la ciudad.
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Visitaban a enfermos y personas con dificultades.
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—Fue muy emotivo participar de la misa.
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Al salir de la capilla, intercambiamos algunas palabras con las Hermanas.
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Nos enseñaron otros detalles de la capilla y nos bendijeron.
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También bendijeron las medallitas que habíamos comprado.
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Están autorizadas para bendecir.
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—¡Ese día fue muy especial en nuestros sentimientos!
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—continúa contando Cecilia.
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—Al salir, fuimos caminando unas cuadras hasta encontrar una confitería.
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Habíamos visto la tumba de Catalina debajo de la “Virgen del Globo”.
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Haberla visto incorrupta bajo el altar fue impactante.
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A su lado se encuentra el antiguo sillón, en el que la Virgen se le había aparecido sentada.
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¡Fue increíble!
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¡La circunstancia más emotiva de todo nuestro viaje!
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—Seguimos recorriendo París.
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Al día siguiente, vimos la tumba del gran héroe del pueblo francés, en compañía de su hijo.
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Además, están allí sus familiares más cercanos, y otras grandes glorias de Francia.
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Me refiero a Napoleón Bonaparte, en compañía de su hijo Napoleón II.
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Había previsto relatar estas circunstancias y escrito un pequeño texto.
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Fue en septiembre de 1840.
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Un buque francés condujo el sarcófago con los restos a Le Havre.
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Luego, por el río Sena a París.
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—El sarcófago es de cuarcito de Finlandia, piedra roja que se asemeja al pórfido.
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Se veían obligados a mendigar, para subsistir.
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A continuación, nos dirigimos a la Catedral de Notre Dame.
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Es uno de los monumentos más importantes de París.
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Las tragedias de las numerosas guerras alteraron, con los siglos, su aspecto original.
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Una pintura en el Louvre retrata la coronación.
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Es un auténtico centro arquitectónico y religioso.
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Es un símbolo de la nación, muy ligado a los principales acontecimientos de su historia.
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—La fachada aparece verticalmente, dividida por pilares en tres partes.
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Horizontalmente dos galerías en tres planos.
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Tiene tres grandes y profundas entradas.
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Decía también que tiene capacidad para 9000 personas.
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—Fuimos luego a la Plaza de la Bastilla.
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Era considerada como el símbolo del absolutismo monárquico.
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Donde estaba la fortaleza, se encuentra la Plaza de la Bastille.
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En ella se erige la Columna de Julio.
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Fue la primera ciudad que visitaron.
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Hicieron lo que planificaron.
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Reconocen que Delacroix, se les “anticipó” a lo planificado.
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Es normal que alguien, no vea o sienta lo mismo que otros.
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Por desconocidas e infinitas variantes del existir, somos distintos.
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¡Sentirse vivos, animados y con objetivos, es esencial!
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Esencial, para motivarnos y poder pensar, como seres humanos.
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El agua es un componente esencial... ¡Para vivir!
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¡Pero no vale la pena, pensar tanto en ello!
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¿Qué es lo que vale la pena hacer?
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¡En el agua no pensaron, durante el viaje!
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Entonces... ¡Debían ir a Giverny!
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Encantador pueblo situado en la ladera de una colina, próximo a Vernon.
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Compraron un libro, “Homenaje a C. Monet”.
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¡Según él, de otro modo no podía alcanzar la perfección!
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Pintaba con otro estilo, diferente al de Monet.
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París III
¿Cómo hacer que funcionen nuestra mente y corazón, para armonizarlos y tener mejores pensamientos? Ello, en relación con “lo que deberíamos hacer”, según nuestra planificación. ¿Qué sería lo correcto ver, visitar, y observar ahora? Se preguntaron entre ellas, las cuatro damas.
Tenían una cierta duda, pues deseaban seguir visitando museos y lugares de interés, pero sentían que necesitaban un “algo más”. Sus pensamientos habían estado principalmente, en las bellísimas pinturas y esculturas, que habían admirado tan de cerca.

—Si cómo piensas... ¡Actúas! ¿En qué, debíamos pensar? —preguntó Marcela a las otras damas.
—Anoche, tardaba en conciliar el sueño y pensaba. Recordaba que antes de programar este viaje, había leído sobre Santa Catalina y la Capilla de la Medalla Milagrosa en 140 Rue du Bac. ¡Y ni la hemos mencionado anteriormente! Estábamos en París y pensamos... ¿Y si vamos allí y hacemos llegar nuestras oraciones al Señor? —contestó Raquel.
—¡Sí! —respondieron al unísono Elizabeth, Marcela y Cecilia. Tomamos un taxi cuyo conductor sea latino y le dijimos que deseábamos ir a esa Capilla.
—Hicimos señas a un taxista y le preguntamos si hablaba español. Le explicamos, como pudimos, en francés, que si hablase español lo tomábamos. Caso contrario no, pues no hablábamos francés. ¡Y era de Colombia! —cuenta Cecilia a los amigos de los viernes.
—¡Nos dijo que le hablásemos en español, y que nuestro francés no era muy bueno!
—Le dijimos que conocíamos algo sobre su país ya que tenemos una sobrina nieta que toca muy bien la marimba. Vivió en Colombia dos años y formó ahora en Argentina, la banda “Grupo Mangoviche”. Se llama Eliana —contó Cecilia.
El taxista, las llevó a la Capilla Nuestra Señora de la Medalla Milagrosa, en el Distrito VII. Durante el viaje Elizabeth leyó para todas, un librito que habían llevado, sobre Sor Catalina Labouré.
—Catalina había nacido en un pueblecito Fain les Moutiers, Borgoña en 1806. En enero de 1830, estaba de postulanta en la casa de las Hijas de la Caridad.
—Tres meses más tarde ingresaba al Seminario de la rue du Bac. Allí Catalina tuvo tres apariciones de la Santa Virgen María.
—La primera fue la noche del 18 de julio. Ese día Catalina vio a la Virgen sentarse en un sillón del coro de la Capilla. Le dijo que ella sería la encargada de lograr que se crease una medalla. ¡Quien la honrara con fervor, podría solicitar gracias, y que serían concedidas!
—La segunda aparición fue el 27 de noviembre. La Virgen le dijo cómo quería que fuese. Una medalla de forma ovalada con determinado diseño, y unas palabras sobre su concepción. “María, sin pecado concebida”.
—La tercera aparición, fue en diciembre de ese año, 1830. Le ratificó lo que ya le había dicho. Le dijo que ya no la vería más. Ese día finalizaron las apariciones de la Virgen María a Catalina.

El chófer del taxi les dijo que ya estaban llegando a la “Capilla de la Medalla Milagrosa”, en 140 rue du Bac. Y les contó lo que sabía de Sor Catalina.
—Que, Sor Catalina, veía a Cristo en la hostia y vio en sueños al Padre de las Hijas de la Caridad, San Vicente de Paul.
—Que, en 1832, con licencia del arzobispo de París, se acuñaron las primeras medallas.
—Que fueron llamadas, la Medalla de la Inmaculada, o la Medalla Milagrosa.
—Que, en pocos años, de 1836 al 38, se habían confeccionado casi diez millones de medallas en Estados Unidos de Norteamérica, Polonia, China, Rusia y África.
—Que murió el 31 de diciembre de 1876.
—Que hizo su primer milagro, ante la multitud agolpada en 140 rue du Bac. Fue en torno a su ataúd. Un muchacho de 12 años, en un cajón con ruedas, lisiado desde su nacimiento, al llegar... ¡Se incorporó!
—Que el cuerpo de santa Catalina Labouré se encontró incorrupto en 1933 y fue trasladado a esa capilla.
—Que Catalina fue declarada Santa, por Pío XII, el 27 de Julio de 1947.

—¡Entramos en la capilla muy emocionadas! Quedamos sorprendidas de verla tan sencilla y austera. Las paredes pintadas de color celeste. Sin objetos de plata ni de oro. Los sacerdotes eran, nos pareció, de origen africano.
—Las Hermanas también. Había un solo sacerdote de tez clara. Los fieles asistentes en ese momento, la mayoría eran de ascendencia africana —cuenta Cecilia.
—Había un largo corredor de baldosas, a la izquierda de la capilla, cuya pared estaba cubierta con placas, medallas, y otros objetos. Todos ellos, en agradecimiento por las gracias recibidas.
—Había una imagen de San Vicente de Paul, sacerdote que vivió hace 400 años, del año 1581 al 1660. En aquel entonces había una terrible epidemia de cólera. El sacerdote Vicente, reunió a campesinas o aldeanas, nacidas en familias pobres de la ciudad. Visitaban a enfermos y personas con dificultades. Ese fue el origen de las religiosas que se llaman “Hijas de la Caridad”, o también “Hermanas de San Vicente de Paul”. Sor Catalina había entrado en la orden de las Hermanas de la Caridad, a la edad de 25 años, y fue allí donde se le apareció la Virgen María.
—Fue muy emotivo participar de la misa. Al salir de la capilla, intercambiamos algunas palabras con las Hermanas. Nos enseñaron otros detalles de la capilla y nos bendijeron. También bendijeron las medallitas que habíamos comprado. Están autorizadas para bendecir.
—¡Ese día fue muy especial en nuestros sentimientos! —continúa contando Cecilia.
—Al salir, fuimos caminando unas cuadras hasta encontrar una confitería. Queríamos tomar un café y conversar, sobre todo lo que nos había sucedido en esta hermosa visita. Habíamos visto la tumba de Catalina debajo de la “Virgen del Globo”. Haberla visto incorrupta bajo el altar fue impactante. A su lado se encuentra el antiguo sillón, en el que la Virgen se le había aparecido sentada. ¡Fue increíble! ¡La circunstancia más emotiva de todo nuestro viaje!
—Seguimos recorriendo París. Al día siguiente, vimos la tumba del gran héroe del pueblo francés, en compañía de su hijo. Además, están allí sus familiares más cercanos, y otras grandes glorias de Francia. Me refiero a Napoleón Bonaparte, en compañía de su hijo Napoleón II.
—Están en la cripta del Dôme de los Inválidos —dice Elizabeth, que sacó de su bolsillo un anotador. Había previsto relatar estas circunstancias y escrito un pequeño texto. Comienza a leer:
—El 5 de mayo de 1821, murió Napoleón I en Santa Elena, donde se hallaba desterrado. Los franceses, muchos años después, consiguieron el permiso de Inglaterra para repatriar sus restos. Fue en septiembre de 1840. Un buque francés condujo el sarcófago con los restos a Le Havre. Luego, por el río Sena a París. En París, pasó debajo del Arco de Triunfo, y luego de los Campos Elíseos, a las Iglesias de los Inválidos. Sus restos están en seis ataúdes: primero de hierro, luego de caoba, de plomo el tercero y el cuarto de madera de ébano y de encina.
—El sarcófago es de cuarcito de Finlandia, piedra roja que se asemeja al pórfido. Está rodeado por doce estatuas que representan a la Victoria, en la cripta de la Cúpula de los Inválidos.
—La construcción de los Inválidos en el siglo XVII, estaba destinada para alojar a los soldados veteranos, con mala salud. Se veían obligados a mendigar, para subsistir.
—Se añadió la Catedral de San Luis de los Inválidos, y la Iglesia del Domo, con su gran cúpula dorada de 100 m de altura. En un jardín al frente del complejo de edificios se han alineado cañones de bronce e incluso, dos tanques alemanes de 1944. Dentro del complejo está el Museo del Ejército de París, entre otros edificios destinados a ser museos.
—Fuimos por segunda vez al Museo del Louvre, donde intentamos ver todo lo que pudimos, de lo mucho que nos había faltado ver. A continuación, nos dirigimos a la Catedral de Notre Dame. Es uno de los monumentos más importantes de París. Durante el período ateo de la revolución francesa, era mencionada como “Templo de la Razón” —Elizabeth, terminó de leer y cede la palabra a Raquel, que también lee sus apuntes.
—La fastuosa coronación de Napoleón como emperador, ante el papa Pío VII se llevó a cabo allí. Las tragedias de las numerosas guerras alteraron, con los siglos, su aspecto original. Una pintura en el Louvre retrata la coronación. Es un auténtico centro arquitectónico y religioso. Es un símbolo de la nación, muy ligado a los principales acontecimientos de su historia.
—La fachada aparece verticalmente, dividida por pilares en tres partes. Horizontalmente dos galerías en tres planos. Tiene tres grandes y profundas entradas. Su zona central ostenta dos grandiosos ventanales que flanquean un rosetón de vitraux, de 10 m de diámetro. Impresionan al entrar, sus proporciones: 130 metros de largo, 50 de ancho y 35 de altura, lo leímos en un cartel. Decía también que tiene capacidad para 9000 personas. En la mayor de las islas del Sena, se construyó el primer núcleo civil y religioso, y muy pronto la Catedral.
—Fuimos luego a la Plaza de la Bastilla. Esa fortaleza fue el primero y más significativo objetivo, de la insurrección popular que estalló el 14 de julio de 1789. Era considerada como el símbolo del absolutismo monárquico. Entre los personajes que fueron encarcelados allí, habíamos visto en una película, un personaje singular, el recordado “Hombre de la máscara de hierro”. Donde estaba la fortaleza, se encuentra la Plaza de la Bastille. En ella se erige la Columna de Julio. En lo alto está colocada la estatua del Genio de la Libertad —cuenta Raquel.

Recuerda que, en la primera reunión de los viernes, en la que comenzaron a relatar su viaje a Europa, lo iniciaron con los recuerdos de París. Fue la primera ciudad que visitaron. Hicieron lo que planificaron. Para el comienzo habían previsto en primer término, visitar los museos, comenzando con el Louvre, y así lo hicieron.
Reconocen que Delacroix, se les “anticipó” a lo planificado. Habían ido para ver, en primer lugar, la “Gioconda”, luego la “Victoria de Samotracia” y la “Venus de Milo”.
Tomás, les había comentado, solamente a ellas, que le parecía que habían hablado demasiado de Claudio Monet... ¡Y tenía razón!
Se pusieron a pensar en ello y llegaron a la conclusión, que el verdadero valor de las cosas o de los hechos, no es siempre evidente. Es normal que alguien, no vea o sienta lo mismo que otros. Por desconocidas e infinitas variantes del existir, somos distintos. Posiblemente, se tienen más en cuenta algunos recuerdos, porque se habría tomado un mayor conocimiento de ellos.
En verdad, no deseaban fuese invisible a sus ojos, lo que habían planificado ver. ¡Y lo que deseaban observar, al poner mayor atención en lo que mirasen!
¡Sentirse vivos, animados y con objetivos, es esencial! Esencial, para motivarnos y poder pensar, como seres humanos. El agua es un componente esencial... ¡Para vivir! ¡Pero no vale la pena, pensar tanto en ello! ¿Qué es lo que vale la pena hacer? ¡En el agua no pensaron, durante el viaje! ¡Pensaban en lo que habían planificado, y deseaban disfrutar al verlo u observarlo! Entonces... ¡Debían ir a Giverny!
Encantador pueblo situado en la ladera de una colina, próximo a Vernon. Pensaron también que luego de lo dicho por Tomás, en relación con Monet, no creían imprescindible describir muchos detalles de esa visita.
Sólo mencionar la hermosa casa taller, las habitaciones, los jardines, el estanque, el puente japonés, su barca... ¡Su mundo familiar!
La inmensa obra de Claudio Monet se encuentra en numerosos museos y colecciones privadas. En Giverny se encuentran, la vivienda de Monet, otras obras de su autoría, talleres, salas de recepción, y enseres de su hermoso hogar. Compraron un libro, “Homenaje a C. Monet”.
Fue publicado en la primavera de 1980 para una de las exposiciones más prestigiosas de los Museos Nacionales, en el “Grand Palais”, de París. Lo trajeron para que pudiesen admirar las hermosas fotografías en relación con la vida y el constante trabajo de un gran pintor.
Elizabeth les dijo... ¡Que las impresiones “de sentimientos”, y no las “de reflexión”, las habían motivado a conocer más sobre Monet! ¡Y ellas habían tomado nota de sus sentimientos, en relación con el “Impresionismo”!
Tomás Gainsborough, un excelente pintor y grabador británico, pensaba distinto. Habían visto una pintura suya en el Louvre, en la segunda visita a ese museo. Fue uno de los intérpretes más destacados del paisaje, y pintar la belleza era su intención principal. ¡Según él, de otro modo no podía alcanzar la perfección! Pintaba con otro estilo, diferente al de Monet.
—Deseamos agregar, que luego del fallecimiento de su segunda esposa, Monet siguió pintando durante once años. Una operación de cataratas detuvo casi por completo su pasión por la pintura. Falleció cuatro años más tarde, el 5 de diciembre de 1926, a los 86 años. Su nuera Blanca, viuda de su hijo Jean, cuidó de él sus últimos doce años —finalizamos por hoy, concluyó Raquel.