ENTRELAZAMIENTO DE CIRCUNSTANCIAS Y SENTIMIENTOS - TOMÁS I.N. NOVATIVE - PARIS I.
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Souvenirs du voyage de quatre dames en Europe.
Paris I. Cecilia, la fille de Tomas, qui vit avec lui, avait invité sa sœur Elizabeth aux réunions du second vendredi de chaque mois. Ainsi que les épouses de Matías, Mario, Jeremías, Ciro, Carlos, Enrique, Jorge, Julio, Arturo et Schmuel. À compter de ce jour, ils se rencontrèrent tous les mois.

Les épouses de Ciro et de Jeremías avaient fait un voyage en Europe avec Elizabeth et Cecilia. Elles voulaient en partager les souvenirs. Elles avaient consigné leurs récits. En attendant la venue de tout le groupe, elles parlaient de la tâche que Tomas et ses amis menaient à bien.
Elle consistait à "regarder en arrière", en décrivant un passé récent, et en le commentant grâce à de vieux souvenirs. Il leur parut plus simple de recourir seulement à certains événements du passé, comme les fameuses chroniques de voyages. Et, devant l'impossibilité de raconter tout ce qui a été visité et observé, elles décidèrent de faire des "ajouts" explicatifs à leurs récits. Ainsi les amis des vendredis et les lecteurs pourraient appréhender dans leur entièreté les moments qu'elles avaient vécus.
Elles voulaient aussi partager avec Tomas, leurs époux et leurs amis, leur ressenti des jours passés ensemble, dans les villes des pays d'Europe qu'elles avaient visitées.
Les chercheurs de différentes disciplines, qui essaient de tout comprendre, sont confrontés à des contraintes de temps pour s'exprimer. Sur la planète Terre, des dizaines de situations complémentaires ont existé, existent et existeront toujours. Compte tenu du genre narratif auquel appartient ce livre, quelques faits donnent assez d’authenticité à ce que l’on veut transmettre.
Quelques références opportunes suffisent pour éveiller l'imagination des lecteurs, et pour situer ces événements. Les amies avaient décidé de ne pas trop s'éloigner dans le temps, pour raconter des événements non maîtrisés.
Bien qu'un fait historique n'ait rien à voir, par exemple, avec un tableau dans un musée, elles pouvaient situer les deux faits dans le temps et les entrelacer avec simplicité. L'objectif était d'exprimer des situations provoquant des sentiments plus forts.
Transformer ces « rajouts » en nouvelles expériences et sentiments permettrait de distraire les lecteurs.. Ce serait comme s'ils se sentaient faire partie de ce qu'elles ont vu au cours de leur voyage. C'était le souhait principal des amies, que leurs descendants, en particulier ceux d'un lointain futur, lisent ce livre et en comprennent mieux les témoignages.
La narration de brefs moments d'un passé pas si lointain peut permettre d'apprécier ce que nous avons traversé d'une manière différente. Par rapport à ce qui s'est passé, elle les rend plus réalistes.
Les voyageuses ont contribué à ce livre par de très breves relations d'événements vécus à des époques plus ou moins lointaines. Et d'autres également, plus proches. Dans ce chapitre, et dans les suivants, des récits, des citations et des ajouts ponctuels de la part des "dames du voyage" qui ont visité plusieurs villes européennes.
Les "dames", comme aime à les appeler Tomas, rapportèrent des notes très précises ainsi que des photos de leur voyage. Elles les partageront durant les réunions.
Leur périple commence par Paris où elles prirent un taxi qui les mena à un petit appartement qu'elles avaient loué à l'avance, pour une quinzaine de jours. Il se trouvait entre l'Arc de Triomphe et la gare Saint-Lazare, sur le boulevard Haussmann. Pour être très précis, entre la gare et l'église Saint-Augustin.
Les épouses de Ciro et Jeremías ainsi que les filles de Tomás souhaitent partager leurs expériences et leurs découvertes, étant donné l'intérêt de Tomás et de ses amis pour leurs impressions de voyage.
Elles ont introduit, de différentes époques, d'un lointain passé ou d'un plus récent, de nouvelles informations dans les textes narratifs. Et elles évoquent différentes... « nuances de sens ! » Nous savons bien qu'un kilo de sucre ne rendra pas l'océan moins salé ! L'imagination aura son rôle à jouer !
À Paris, leurs bagages furent rapidement installés dans l'appartement déjà évoqué. Elles firent un brin de toilette et passèrent des vêtements décontractés. Et presque immédiatement, eIles se rendirent au Louvre. Pour commencer, elles voulaient voir la « Joconde » et se dirigèrent vers la salle où elles pensaient la trouver. Dès qu'elles entrèrent dans la salle, elles virent un tableau qui, tout de suite, attira leur attention.

« Le célèbre peintre Ferdinand Victor Eugène Delacroix n'a pas pu rendre, quand bien même il l'aurait voulu, la saveur de l'air qu'ils respiraient ! commença Cecilia.
— Qui ça ? interrogea Jeremías.
— Les personnages de son tableau “ La Liberté guidant le peuple ” ! dit Cecilia.
— C'est un tableau magnifique, et nous ne percevons pas ces odeurs inexistantes.
— Mais Delacroix, avec son pinceau, a exprimé le caractère allégorique de cette scène et a fait primer l'admiration ! Il a imprimé, au fond de notre mémoire, des sentiments éternels, a ajouté Raquel.
— L'authenticité de cette œuvre nous a séduites. L'emphase mise par l'auteur sur la dimension émotionnelle et la vigueur de sa représentation en font un ouvrage d'une grande beauté ! Et convaincant, fidèle aux événements ! — poursuivit Cecilia, ses notes à la main.
— Nous étions venues au musée qui possède les plus grandes collections d'Europe pour en voir quelques-unes lors de cette première visite. Nous étions entrées dans cette salle pour voir "La Joconde" de Léonard de Vinci. Et là se trouvait le tableau de Delacroix. Et il nous a totalement subjuguées !
— Depuis 2005, La Joconde est exposée dans la salle des États, une salle d'exception du musée. Elle y occupe la place d'honneur, comme dans toutes les salles où elle fut exposée.
— Puis nous sommes allées voir la Joconde, le portrait de Mona Lisa. Mona est une contraction de Madonna. Son nom de jeune fille était Lisa Gherardini, la troisième épouse de Francesco del Giocondo.
— Le nom de son mari, Francesco del Giocondo, est à l'origine d'un jeu de mots, puisque ce portrait, l'un des plus célèbres au monde, a été intitulé la « Joconde ». Il a été peint à Florence, par Leonardo di ser Piero da Vinci, dit Léonard de Vinci.
— Il y a travaillé durant de nombreuses années, à partir du début de l'année 1503. Il s'agit d'une peinture à l'huile sur un panneau de bois de peuplier de 77 x 53 centimètres.
— Les traits de son visage, en particulier l'expression de son célèbre sourire captivent notre regard. Tout comme de délicats dégradés de tons avec ses mains pâles et allongées. Tout cela, dans un sfumato, un effet pictural créé par Léonard de Vinci, fin du quinzième siècle. Pas de contours que l'on pourrait qualifier de rugueux, pas de transitions apparentes, un ombrage subtil, poursuit Cecilia en relisant ses notes.
— Léonard préférait peindre à la tombée de la nuit ce qui lui permettait d'obtenir des effets de lumière particuliers. Il n'a jamais remis ce tableau à son client. Il l'a emporté à Milan en 1506, puis à Rome où il obtint des commandes de la part des Medicis. Puis à Bologne, Venise, et, en 1516, à Amboise, en France. De toutes ses œuvres qu'il aimait, peintures, dessins et manuscrits, La Joconde était sa favorite.

— Vous vous souvenez de ce que je vous ai dit après avoir vu La Joconde ? ajoute Elizabeth. Au collège, nous avions découvert les peintures et sculptures mondialement connues. Nous avions hâte de retrouver celles qui étaient exposées au Louvre, et de commencer la journée avec seulement trois d'entre elles !
— Nous les avions en mémoire et nous avons pu les observer longuement. Ce fut une sensation très différente et merveilleuse de les voir de si près !
— Aucune comparaison possible entre une reproduction et l'original, que l'on a sous les yeux, à moins de deux mètres !
— L'impression que nous avons ressentie en voyant l'œuvre originale nous a rappelé ce que nous avions planifié quant à notre voyage. Il nous réservait des sensations très agréables et très fortes. Nous avons pensé qu'il nous rendrait la vie plus savoureuse, plus belle, plus digne et plus précieuse !
— La Joconde ! dit Ceciia.
que nous connaissions et pouvions reconnaitre facilement là maintenant. D'aussi près ! Nous savions que... Ce serait une émotion très vive ! Entrer dans un musée comme le Louvre et décider de ne voir que trois œuvres ce jour-là ! Parmi plusieurs centaines de chefs-d'œuvre, de peintres et de sculpteurs célèbres ; cela semblait n'avoir aucun sens. Cependant... C'était ce que nous avions planifié ! Nous voulions, ce jour-là, après avoir admiré "La Joconde", voir deux sculptures.
— La première, la merveilleuse "Victoire de Samothrace"!
— C'est une sculpture de 2,7 mètres de hauteur. Sur un bloc de marbre, une femme, les ailes déployées, se dresse telle la proue d'un navire. Sculptée dans du marbre blanc, vers 190 av. J.-C. — Dans la mythologie grecque, elle représente Niké, la déesse messagère de la Victoire, symbole des victoires navales. Elle a été trouvée près de l'île grecque de Samothrace, au nord de la mer Égée. Les Grecs auraient remporté une victoire contre les navires du roi syrien Antiochos III.
— La seconde, la « Vénus de Milo » ! Il s'agit d'une statue de femme sans bras sculptée à quelques années d'intervalle de la Victoire de Samothrace. Peut-être la sculpture grecque la plus célèbre, pour sa perfection hellénistique ! ajoute Cecilia.
— Elle était à demi ensevelie sur une île, lorsqu'elle a été découverte au début du XIXe siècle. On ne connaît pas le nom du sculpteur, et qui voit la statue admire surtout son torse délicat et les plis de la tunique qui couvre une partie de son corps. Elle avait ses deux bras, lorsque l'officier français Dumont a entamé une procédure pour qu'elle soit acquise par la France. Elle perdit ses bras lors de l'attaque par les Turcs du navire français qui la transportait.

— En quittant le Louvre, ces dames voulaient se rendre au musée Marmottan pour admirer le tableau "Impression", de Claude Oscar Monet ! Et le lendemain, elles iraient au musée de l'Orangerie, pour en admirer d'autres œuvres. Là se trouvent les nénuphars, ces plantes aquatiques aux fleurs blanches.
— Vers 1890, Monet connaît le succès dans les salons. Sa situation financière devenant meilleure, il a pu acheter une résidence à Giverny. Deux ans plus tard, il a épousé Madame Hoschedé. Tous deux étaient veufs.
— Il avait fait aménager un jardin avec un lac artificiel et un pont japonais dans sa propriété. Dans ses dernières années, assis dans une barque sur son lac, il peignit de nombreux tableaux.
Les quinze dernières années de sa vie, affecté par le décès de sa seconde épouse, il peignait très peu. Il fut opéré de la cataracte. Il fit don de ces tableaux à l'état français. Ceux-ci furent exposés dans le pavillon de l'Orangerie, aux Tuileries.
Nous avions observé ces œuvres avant même de nous rendre à Giverny ; c'était à l'Orangerie. Nous avons également pu apprendre où Monet posait son chevalet et d'où venait son inspiration pour peindre ses tableaux.
— À notre retour, Elizabeth, tu devais acheter des pizzas dans le magasin qui se trouve à côté de l'appartement. Et aussi une bouteille de vin rouge à déguster dans la chambre ! Nous avions apporté de la vaisselle, des couverts et des verres, ainsi qu'une nappe et des serviettes. Tu as aussi acheté un demi-kilo de crème glacée à notre goût. Le dîner dans notre appartement ne reviendrait pas si cher ! Marcela rappelle qu'elles auraient bien une autre occasion d'aller au Louvre, comme le dit Cecilia à sa sœur Elizabeth, avec un grand sourire.
— A Giverny, nous sommes allées en train ou en bus ? Nous avons tellement voyagé que je ne m'en souviens plus, dit Raquel.
— Nous y sommes allées en train, depuis la gare Saint-Lazare, précise Cecilia.
— Je crois que le voyage a duré moins d'une heure. Au retour, nous nous sommes attardées sur la visite de cette gare de Paris. C'est d'ailleurs un thème que Monet a peint de nombreuses fois. La fumée ambiante et la vapeur des locomotives l'attiraient. Nous avons pu admirer une de ces peintures de la gare lors de notre seconde et longue visite au Louvre Ce tableau au musée reprenait exactement la vision de la gare que nous avions eu de près.
— Mario, peux-tu nous lire ce que nous t'avons demandé de chercher dans ta bibliothèque ? dit Cecilia. — Monet fut intimement lié à l'impressionnisme. En 1874, un groupe d'artistes indépendants exposa ses peintures et on les nomma, de manière péjorative, les « Impressionnistes ». À cause de son tableau « Impression ». La nature y retrouvait son énergie vitale et vibrait de toute sa joie. Ce tableau représente le port du Havre aux premières heures du matin. Il présente un contraste d'orange et de bleu fait de brefs coups de pinceaux de couleurs vives, d'un format de 48 x 63 cm.
— Il fut le peintre impressionniste le plus constant, captant de fugaces moments grâce à de magnifiques effets lumineux. Ainsi s'éloignait-il de la beauté classique idéalisée. Auparavant les ombres étaient peintes dans des tons neutres. Les impressionnistes les peignirent aussi, mais en couleurs ! Les vibrations fugaces de la lumière dans l'atmosphère mouvante étaient représentées y compris dans les ombres !
Dans les musées qu'elles visitèrent, peu ou pas de tableaux représentant des événements majeurs des guerres séculaires. La Seconde Guerre mondiale n'était pas une guerre de tranchées, c'était plus une guerre de mouvements.
— Après la Seconde Guerre mondiale, une guerre froide s'est installée dans les années 1945-1947. Ce fut une époque de tensions entre les États-Unis, , et l'U.R.S.S. Elles n'ont pas vu, non plus, de peintures de cette époque.
— En 1937, dans un tableau très célèbre, « Guernica », la personnalité anticonformiste de Picasso s'impose dans la peinture, résistant à tous les canons et autres conventions, malgré un talent sans limite pour exprimer ses sentiments. Cette peinture à la détrempe sur toile, de 3,51 mètres x 7,82 mètres, témoigne de l'horreur de la guerre civile espagnole avant la Seconde Guerre mondiale. Elle se trouve au musée national centre d'art Reina Sofía, à Madrid, en Espagne.
— Après la Seconde Guerre mondiale, la menace d'une destruction bilatérale par des armes atomiques a pesé sur le monde. Les dirigeants ont dû faire montre d'une très grande prudence, nécessaire et impérative. Tous les pays n'ont pas participé à cette Seconde Guerre Mondiale.
Il y eut également d'autres événements d'une importance plus grande sans doute, que l'on ne retrouve pas dans les oeuvres d'art, surtout dans des tableaux. La guerre de Corée en 1950 - 1951 a permis de tester comment éviter une destruction quasi-totale du monde.
. . Aux États-Unis, le général Mac Arthur fut relevé de son commandement l'année 1951. Son objectif était d'atteindre une victoire pleine, en bombardant la Chine. Ainsi, il aurait exhorté la Russie à intervenir. Aujourd'hui, plusieurs pays possèdent des missiles capables de transporter sur de longues distances des charges nucléaires ayant un énorme potentiel de destruction.
— La trêve entre les deux Corée a permis un retour à un semblant de normalité, que l'on peut aujourd'hui qualifier d'inexistante tant le futur est incertain.
Dans les années 1960, Cuba avec Castro et l'U.R.S.S. avec Khrouchtchev créèrent un nouveau problème très grave. Le président Kennedy, en ordonnant le déploiement de la flotte américaine, évita qu'une nouvelle guerre mondiale n'éclate.
— Les photographies, les courts métrages et les films, par leur instantanéité, ont remplacé la peinture. La beauté créative du bon vieux pinceau a été remplacée par une lentille, moins amène dans l'expression de la réalité, mais instantanée et facile à communiquer sans attendre.
— Les hommes ne peuvent pas anticiper le futur avec exactitude, lequel fut, est et sera toujours incertain, et souvent augmenté de perversité. Les avancées scientifiques et technologiques servent le bien ou le mal, à des fins bonnes ou mauvaises. Les conflits à venir, entre états, pourraient anéantir la planète Terre. — Mario termine la lecture de son compte rendu et ajoute un commentaire.
— Les faits et les informations résultant de lignes éditoriales différentes tendent à compliquer considérablement les relations dans la société. Il devient difficile de proposer une formule générale qui satisferait tous les pays, tous les dirigeants et tous les habitants de cette planète tourmentée. Le monde entier est criblé de fissures ! Et malgré cela il continue d'avancer, pour le bien comme pour le mal ! expliqua Mario.

Ces dames reprennent la parole et poursuivent le récit de leurs souvenirs de voyage en Europe.
— A Paris, la visite des musées qui nous a permis de voir de près certaines sculptures et certains tableaux, nous a toutes conquises ! Ces souvenirs nous enchantent ! Comme nous aurions apprécié d'avoir plus de temps pour les visites ! ! Aussi vif que le courant d'un ruisseau dont la vue rafraîchit les souvenirs par un idyllique après-midi de printemps, le temps coulait entre nos doigts. commente Raquel, puis elle continue son récit ; comme elles en ont convenu.
— Le Moulin Rouge, et ses revues avec autant de danseuses, les musées du Louvre, d'Orsay, le musée Rodin, le Centre Pompidou. Ajoutez à cela, dans notre programme, la tour Eiffel, les Invalides et la Cathédrale Notre Dame, poursuit-elle.
— Sans oublier la Cité, la Conciergerie, la Sainte Chapelle, Giverny.... Tout était magnifique ! dit Marcela. Et cet appartement que nous avons loué pour quinze jours, un vrai coup de chance !
Une excellente idée ! Et puis aussi ne pas se lever trop tôt, prendre un bon petit déjeuner et se promener sur les Champs- Élysées ! Nous voulions dormir suffisamment, manger quelque chose pendant la journée et marcher un peu ! explique Elizabeth.
— J'apporte quelque chose de chaud ou de frais, et nous continuons avec Paris, dit Cecilia. Nous avons encore tant de choses à vous raconter ! Aujourd'hui, la réunion va durer longtemps.
Je vais vous raconter le jour où nous sommes allées au Panthéon et à la Tour Eiffel. Et en soirée, nous sommes allées au Moulin Rouge, poursuit Elizabeth.
— Écouter tous ces détails est une bonne opportunité, Mario va pouvoir arrêter ses commentaires pendant un moment, dit son épouse Celina.
— On se rend bien compte que vous avez vraiment très bien planifié toutes vos visites ! commente Ciro.
— Oui, c'est vrai. Le Panthéon nous a surpris ! a commencé Elizabeth avant de redonner la parole à Mario qui a sorti de sa serviette d'autres notes qu'il avait déjà préparées. Cela avait été convenu avec « les dames ».
— C'est un panthéon, le bâtiment est surmonté d'un dôme, un lieu sacré de la République, explique Mario en lisant ses notes.
Il est situé au cœur du Quartier latin à Paris. En 1791, l'assemblée législative de la Révolution de 1789 décida de créer un temple républicain dans le cinquième arrondissement. Sur décision du roi Louis XV, une basilique catholique devait être érigée. Elle serait dédiée à la patronne de Paris, sainte Geneviève.
— Paris compte vingt arrondissements, chacun administré par un maire. L'arrondissement où se trouve le Louvre, dans le centre de Paris, est le 1er. La numérotation suit un parcours dans le sens des aiguilles d'une montre.
— Le Panthéon est dans le cinquième arrondissement. Dans les faits, il y eut confrontation entre ceux qui voulaient une basilique et ceux qui voulaient un temple républicain. En 1806 Napoléon Bonaparte trouva une solution de compromis. Le temple revint à l'Église tandis que l'État pourrait décider du sort de la crypte. Elle est aujourd'hui décorée de peintures et de sculptures venant des deux horizons. Certaines d'inspiration monarchique et chrétienne, d'autres à la gloire des révolutionnaires de 1789.
— Derrière la façade de la Basilique Sainte Geneviève on peut voir le dôme du Panthéon, haut de 83 mètres. Les visiteurs qui le souhaitent peuvent utiliser des audioguides en plusieurs langues. Á certaines heures, il y a des spectacles son et lumière.
On y trouve les cendres de Voltaire, Rousseau, Zola, Jean Jaurès, Victor Hugo, Alexandre Dumas et celles de Jean Moulin, le héros de la résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale. On y trouve également des sépultures honorifiques de personnalités de grand mérite, tels Pierre et Marie Curie. Le scientifique Léon Foucault a démontré la rotation de la planète Terre à l'aide d'un pendule suspendu au plafond de la coupole de ce temple... Ces dames remercient Mario pour sa contribution.
— Nous avons vu une réplique du pendule au rez-de-chaussée, poursuit Elizabeth, et, à la marge de tout cela, je voudrais souligner deux choses : la première, les livres et dictionnaires que nous avions emportés, et qui ont été très utiles ; et l'autre... importantissime ! les chauffeurs des voitures de location que nous prenions pour nos déplacements ! La plupart d'entre eux étaient sud américains et parlaient l'espagnol. Ils nous ont servi de guides !
— Nous aurions eu des difficultés à aller d'un endroit à un autre. Aucune de nous ne parle suffisamment bien le français pour poser les bonnes questions sur ce que nous souhaitions savoir. Ou pour comprendre les réponses que l'on nous faisait en français.
— Nous sommes allées à la Tour Eiffel qui fut ouverte au public en mai 1889. Elle mesure 324 mètres de hauteur, en comptant l'antenne de radio qui la surmonte. Cecilia, qui craint l'altitude, est restée au second étage pour y prendre un thé. Quant à nous, nous sommes montées au sommet par un ascenseur qui le relie à cet étage. La vue sur Paris est excellente, dit Elizabeth.
— Au troisième étage se trouvait un petit appartement conçu par Eiffel. Depuis la porte on distinguait deux personnages de cire à côté d'un petit meuble. Cela ressemblait à une salle de réception pour des invités d'honneur. Ces personnages étaient des répliques de Gustave Eiffel et Thomas Edison, ajouta-t-elle.
— Après avoir pris le thé au deuxième étage de la tour, nous sommes allées au Moulin Rouge. Nous avons assisté à la représentation de ce jour-là, avec de très bons danseurs, véritables artistes. Il y avait du champagne pour ceux qui avaient choisi une table dans une sorte d'alcove, près de la scène où se déroulait le spectacle. En entrant, nous avons vu « La Goulue », un tableau de Toulouse-Lautrec, expliqua Elizabeth en consultant ses notes.
— Le lendemain, nous avons visité le musée d'Orsay, le musée Rodin et la Sainte-Chapelle. À Orsay, nous avons admiré le tableau « Les Coquelicots », l'une des œuvres les plus célèbres de Claude Monet.
— Il avait été présenté au public lors de la première exposition du groupe impressionniste. Ce tableau, « Les Coquelicots », (« Las Amapolas, en espagnol) peint à Argenteuil, représente une femme et un enfant se promenant dans la campagne, un jour d'été. Il s'agirait de sa première épouse Camille et de leur fils Jean.
— Les coquelicots au premier plan sont d'un rouge intense qui contraste avec le vert bleuté de la prairie sur la droite du tableau. Le tableau de Monet « Les Nymphéas bleus» (nymphéa est le nom botanique de nénuphar) se trouve également au musée d'Orsay. On peut affirmer que le musée d'Orsay est le deuxième musée le plus important après le Louvre. On y trouve des peintures, des sculptures, de l'art décoratif et architectural. Ses tableaux impressionnistes sont remarquables. Là sont présentées des œuvres du réalisme français signées Courbet, Manet, Millet et Corot, pour citer les plus connus. Il y a aussi des tableaux de Renoir, Cézanne et Gauguin. Et sont exposées des peintures de postimpressionnistes, tel Van Gogh. Au départ ce musée était une gare ferroviaire. Il a été ouvert au public en 1986. On peut y accéder en métro ou par un bateau mouche ; le musée se trouve sur la rive gauche de la Seine.
— Nous avons admiré « Les Glaneuses » de Millet et « Le Bal du Moulin de la Galette » de Renoir, une joyeuse fête en plein air avec des touches de lumière qui donnent la sensation de mouvement et de vie. Sans oublier « Jeunes Filles au piano », parmi d'autres œuvres du même artiste.
— Parmi les œuvres du postimpressionniste Van Gogh, nous avons vu « L'Église d'Auvers-sur-Oise », « La Chambre de Van Gogh à Arles » (l'une des trois versions portant ce titre) et un « Autoportrait », l'un des nombreux qu'il a peints. De Manet, « Déjeuner sur l'herbe » tableau qui fut refusé à l'époque dans un salon officiel car jugé scandaleux. On y voit une femme nue dans une réunion champêtre, ce qui, en ce temps là, était immoral et provocateur. "Olympia", de Manet également, fit scandale auprès du public et de la critique officielle. On la méprisa en la surnommant "une odalisque au ventre jaune", poursuivit Elizabeth.
— La grande majorité des œuvres de Van Gogh se trouve dans le musée d'Amsterdam. Van Gogh, le grand peintre néerlandais, a toujours été aidé financièrement par son frère Théo. Il a commencé à peindre à l'âge de 27 ans et a vécu encore pendant 10 ans, avec une santé mentale fragile.
— Il a peint également en Arles, avec Paul Gauguin qui ne partageait pas toujours ses points de vue sur l'art. Si bien que, Gauguin l'ayant menacé de s'en aller, il se coupa une oreille après une discussion. Van Gogh n'a vendu qu'un seul tableau de son vivant ; son frère Théo mourut six mois après lui.
— C'est la veuve de Theo qui fit en sorte que ses œuvres soient reconnues. Elle prêta des tableaux pour des expositions et publia les lettres de Vincent à Theo. Vincent a peint plus de 30 autoportraits, ce qui lui permettait de peindre chaque fois qu'il le souhaitait, sans payer de modèle.
— Au musée Rodin, elles virent des sculptures d'Auguste Rodin, lequel est considéré comme le père de la sculpture moderne. Le musée se trouve dans le 7ème arrondissement et contient plusieurs centaines de sculptures magnifiques réalisées en marbre blanc, en bronze, en pâte de verre et en céramique.
— Contemporain de l'impressionnisme, il façonnait un modèle en terre cuite, qu'il reproduisait ensuite en bronze. Ses œuvres les plus célèbres, « Le Penseur » et « Le Baiser », se trouvent au musée. Le prototype du « Penseur » a été réalisé en terre cuite, puis sculpté. Il élabora des moules en plâtre pour réaliser les reproductions en bronze.
Une copie du "Penseur", réalisée en France, se trouve en Argentine, sur la place du Congrès. Pour Rodin, il s'agissait d'un homme rude qui s'arrête en plein labeur pour réfléchir. Un homme nu assis sur un rocher, les pieds posés à plat et la tête appuyée sur le dos de la main droite. La sculpture originale fait 58 cm sur 40 cm, et 71.5 cm de hauteur.
Pour Rodin, cette œuvre serait une allégorie de plus de "La porte de l'enfer". Cette porte représentait principalement des scènes de l'enfer. Une sorte d'entrelacs entre la mythologie antique et les allégories de la Divine Comédie. Il a créé des modèles et des études de plusieurs de ses composants. Ceux-ci sont appréciés comme des œuvres indépendantes.
— Camille Claudel fut sa collaboratrice, sa muse et sa maîtresse. Se dice que, a partir de incontables promesas no cumplidas por parte de Rodin, tomó la decisión de abrirse camino hacia una vida independiente, al alejarse del maestro. No consiguió apoyo estatal para realizar grandes obras. Rodin donó sus obras al Estado, a cambio de la exhibición de su colección, en un museo a su nombre.
—Fue el hermano de Camille Claudel, quien donó al Estado, cuatro obras de gran tamaño, realizadas por ella. Solicitó que fuesen incluidas en dicho museo. Respecto de “La puerta del infierno”, Rodin jamás vio la fundición de ella. Fue hecha después de su muerte. Actualmente existen ocho copias de esa puerta a partir de su propuesta en yeso— finaliza Elizabeth.

—Fuimos a continuación a la isla de la Cité, en el río Sena, que cruza a París casi por el centro —comienza Cecilia a leer sus apuntes.
—Allí se han encontrado vestigios de habitantes, de 5000 años a. C. Al comienzo de la Edad del Hierro, numerosos objetos y construcciones demuestran la presencia romana.
—Visitamos la Sainte Chapelle, en la cual la Iglesia Inferior tiene apenas siete metros de altura. Presenta tres naves, la central enorme en comparación con las laterales pequeñas. La Iglesia Superior de 17 m de ancho por 20 m de alto, tiene una sola nave. Prácticamente carece de paredes, pero posee grandes vitrales de 15 m de altura. Es una capilla cristiana palacial de estilo gótico y casi 80 m de altura —añadió Cecilia—. Ese día, estaba usando un bastón por un dolor de rodillas, y había muchos escalones en una escalera al frente.
—Muy atentos, los guardas, nos guiaron al edificio de al lado, una dependencia del Ministerio de Justicia. Allí entramos a un ascensor que usaban las autoridades desde hacía ya mucho tiempo. Ese ascensor nos llevó a un corredor privado que nos puso en el piso superior de la capilla. ¡Recorrimos el pasadizo que usaron autoridades de distintas épocas, y vimos los bellísimos vitraux!
La Sainte Chapelle y la Conciergerie, son los únicos restos auténticos del Palacio de la Cité, palacio real de los Capetos. Llegaron al trono, a finales del siglo X, cuando era una antigua fortaleza. Con el correr de los siglos, del X al XX, las ampliaciones de los edificios, incendios reiterados y restauraciones han alterado el aspecto que entonces presentaba.
—La Conciergerie con sus suntuosas salas de la época de Felipe el Hermoso, se presta a una evocación global de la historia del palacio de la Cité. ¡Fue la primera residencia parisina de los Reyes de Francia!
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Recuerdos del viaje de cuatro damas a Europa.
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A partir de ese momento se reunían todos los meses.
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Las esposas de Ciro y Jeremías habían hecho un viaje a Europa con Elizabeth y Cecilia.
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Deseaban compartir los recuerdos de ese viaje.
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Tenían preparado sus relatos.
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Mientras esperaban la llegada de todos,.
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comentaban la tarea que estaban llevando a cabo, Tomás y sus amigos.
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Era una tarea compleja ese “mirar hacia atrás”,.
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describiendo un pasado reciente,.
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y comentando al respecto, detalles lejanos.
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Ante la imposibilidad de narrar lo visto y observado, en su totalidad,.
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pensaron en esos “añadidos” explicativos, a sus relatos.
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Pretendían también, compartir con Tomás, sus esposos y amigos,.
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los sentimientos de los días que pasaron juntas,.
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en las ciudades de los países europeos que visitaron.
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Los investigadores de distintas disciplinas, que intentan abarcar el todo,.
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se encuentran sometidos a limitaciones de tiempo para expresarse.
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Dado el género narrativo, al que pertenece este libro,.
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unos pocos hechos proporcionan suficiente autenticidad a lo que se desea transmitir.
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Pocas y oportunas referencias bastan, para despertar la imaginación de los lectores,.
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y para ubicar allí esos momentos.
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unit 27
Las amigas, habían coincidido, en no distanciarse tanto en el tiempo,.
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unit 28
con acontecimientos no bien conocidos.
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unit 29
Aunque un hecho histórico nada tenga que ver, por ejemplo, con algo visto en un museo,.
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unit 30
podían ubicar ambos hechos en el tiempo y entrelazarlos con sencillez.
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unit 31
Se deseaba expresar circunstancias que otorgasen una suerte de sentimientos más emotivos.
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unit 33
Sería como sentirse incluidos en lo que veían en el viaje.
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unit 34
Era el deseo primordial de las amigas,.
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unit 35
para cuando sus descendientes, en especial los del futuro lejano,.
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unit 36
leyeran este libro y comprendieran mejor las narraciones.
3 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 month, 1 week ago
unit 38
En relación con lo sucedido, les confieren un mayor realismo.
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unit 39
Las viajeras han aportado a este libro, breves pasajes parciales, de tiempos algo lejanos.
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unit 40
También otros aconteceres, más cercanos.
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unit 41
En este capítulo, y los siguientes, hay relatos, citas y añadidos puntuales,.
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unit 42
de varias ciudades europeas, aportados por las “damas del viaje”.
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unit 44
Las van a compartir en las reuniones.
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unit 47
Con mayor precisión entre la Iglesia de Saint Augustin y la estación.
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unit 49
dado el interés de Tomás y sus amigos por conocer las impresiones de sus viajes.
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unit 50
De distintas épocas, de un pasado más remoto y uno más próximo,.
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unit 51
incorporaron nuevas informaciones a los textos narrativos.
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unit 52
Y mencionan.... ¡Distintos “sabores de significación”!.
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unit 53
¡Ya sabemos que un kilo de azúcar no hará menos salado un océano!.
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unit 54
¡La imaginación, haría su parte!.
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unit 55
En París ubicaron sus equipajes con rapidez, en el departamento citado.
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unit 56
Se higienizaron y cambiaron de vestimenta, por una informal.
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unit 57
Luego concurrieron casi de inmediato al museo del Louvre.
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unit 61
el sabor del aire que respiraban!
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unit 62
—comenzó contando Cecilia.
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unit 63
—¿Quiénes?
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unit 64
—preguntó Jeremías.
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unit 65
—¡Los personajes de su pintura “La libertad guiando al pueblo”!
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unit 66
—dijo Cecilia.
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unit 67
—Es una bellísima pintura, y no detectamos esos sabores inexistentes.
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unit 69
Despertó sentimientos imperecederos, en nuestra memoria —agregó Raquel.
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unit 70
—La autenticidad puesta de manifiesto en esa pintura nos atrajo.
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unit 72
¡Y convincente, en relación con los hechos ocurridos!.
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unit 73
—continuó Cecilia, con sus notas en la mano.
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unit 75
Habíamos entrado a ese salón por “la Gioconda”, obra de Leonardo da Vinci.
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unit 76
La obra de Delacroix estaba allí.
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unit 77
¡Y nos llamó poderosamente la atención!.
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unit 79
Ocupa como entonces, el lugar de honor, de la sala en que se encuentre.
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unit 80
—Luego fuimos a ver la “Gioconda”, fue Mona Lisa del Giocondo.
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unit 81
Mona es una contracción de Madonna.
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unit 82
unit 84
Lo había pintado en Florencia,.
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unit 85
Leonardo di ser Piero da Vinci, llamado abreviadamente, Leonardo da Vinci.
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unit 86
—La pintó durante varios años,.
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unit 87
desde comienzos del año 1503.
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unit 88
Es un óleo sobre tabla de álamo y tiene una dimensión de 77 x 53 centímetros.
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unit 90
Delicadas gradaciones tonales con sus manos pálidas y alargadas.
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unit 91
Todo, dentro de un “esfumado”.
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unit 92
Un método pictórico creado por Leonardo, desde finales del siglo XV.
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unit 94
—Leonardo prefería pintar al atardecer logrando efectos lumínicos especiales.
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unit 95
Nunca entregó esta obra a su cliente.
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unit 96
La llevó consigo a Milán en 1506,. y a Roma donde obtuvo trabajo de los Medici.
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unit 97
Luego a Bolonia, Venecia y en 1516, a Amboise, Francia.
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unit 99
—¿Recuerdan, lo que les dije, luego de ver La Gioconda?.
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unit 100
—comenta Elizabeth—.
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unit 103
—Ellas, estaban en nuestra memoria y pudimos observarlas detenidamente.
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unit 104
¡Fue una sensación distinta, maravillosa, el verlas de muy cerca!.
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unit 105
—¡Una cosa es una reproducción y otra cosa es observar esa misma obra,.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 month ago
unit 106
a una distancia menor a dos metros!
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unit 108
Él nos depararía muy gratas e impactantes sensaciones.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 month ago
unit 109
¡Haría la vida más agradable, bella, digna y valiosa, para nuestro gusto!.
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unit 110
—¡Era “La Gioconda”!
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unit 111
—dice Cecilia.
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unit 112
—Conocida de antemano, y fácilmente reconocible al observarla ahora.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 month ago
unit 113
¡Desde tan cerca!.
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unit 114
Sabíamos que … ¡Sería muy emotivo!.
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unit 115
¡Entrar a un Museo como el Louvre y ese día ver solamente tres obras!.
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unit 116
Entre muchos cientos de obras famosas,.
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unit 117
de pintores y escultores también célebres,.
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unit 118
parecía no tener mucho sentido.
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unit 119
Sin embargo.... ¡Era parte de nuestra planificación!.
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unit 120
Deseábamos ese día, luego de observar “La Gioconda”, ver dos esculturas.
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unit 121
—¡Una, la bellísima “Victoria de Samotracia”!.
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unit 122
—Es una escultura de 2,7 metros.
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unit 123
Una mujer, que aletea sobre un mármol, y simula ser la proa de una nave.
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unit 125
la diosa mensajera de la Victoria, símbolo de las victorias navales.
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unit 126
Fue hallada próxima a una isla griega de Samotracia,.
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unit 127
al norte del mar Egeo.
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unit 130
¡Quizás la escultura griega más famosa, por su perfección helenística!
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unit 131
.—añade, Cecilia.
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unit 132
—Estaba semienterrada en una isla,.
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unit 133
cuando se la encontró a comienzos del siglo XIX.
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unit 136
Fue puesta en un barco francés que atacaron los turcos, y allí perdió los brazos.
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unit 138
unit 139
Allí, están los nenúfares, plantas acuáticas de flores blancas.
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unit 140
—Hacia 1890 Monet, había tenido éxito en las exposiciones.
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unit 141
Con un mejor estado económico, pudo adquirir una vivienda en Giverny.
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unit 142
Dos años más tarde se casó con Madame Hoschedé, los dos eran viudos.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 4 weeks ago
unit 144
En sus últimos años, sentado en una barca en dicho lago,.
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unit 145
hizo numerosas pinturas.
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unit 147
Tuvo también, una operación de cataratas.
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unit 148
Donó esos lienzos al Estado francés.
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unit 149
Fueron colocados en el pabellón de la Orangerie, en las Tullerías.
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unit 150
—Previo a la ida a Giverny habíamos observado esas obras,.
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unit 151
en L’Orangerie.
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unit 152
Pudimos conocer de donde procedía la visión y la inspiración que tuvo para pintarlas.
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unit 153
—Al regresar ¡Tú Elizabeth, debías comprar en ese negocio próximo al departamento, pizzas!.
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unit 154
¡También una botella de vino tinto, que disfrutaríamos en el cuarto!.
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unit 155
Trajimos vajilla, cubiertos y copas, además de un mantel y servilletas.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 5 days ago
unit 156
También compra medio kilo de helado de los gustos que quisiéramos.
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unit 157
¡La cena en nuestro departamento no resultará tan costosa!.
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unit 158
Al Louvre podríamos volver otro día —recuerda Marcela,.
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unit 159
lo que Cecilia le dijo a su hermana Elizabeth, sonriendo al contarlo.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 4 days ago
unit 160
—¿A Giverny, fuimos en tren o en ómnibus?.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 4 days ago
unit 161
No recuerdo ese viaje, entre todos los que hicimos —pregunta Raquel.
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unit 162
—Fuimos en tren, desde la estación Saint - Lazare —contesta Cecilia y añade.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 4 days ago
unit 163
—Creo que, menos de una hora, insumió el viaje.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 4 days ago
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Al regreso fuimos a ver, con mayor atención, esa estación de París.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 4 days ago
unit 165
Es un tema que Monet, pintó varias veces.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 4 days ago
unit 166
El humo reinante y el vapor de las locomotoras lo atraían.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 4 days ago
unit 167
La estación está allí y vimos una de esas pinturas, en una larga segunda visita al Louvre.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 4 days ago
unit 168
Un contexto idéntico al que vimos, de cerca, ofrecía esa pintura del museo.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 4 days ago
unit 169
—Mario, ¿Puedes leernos lo que hemos acordado que indagaras, en tu biblioteca?.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 3 days ago
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—dijo Cecilia.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 3 days ago
unit 171
—Monet estuvo ligado íntimamente al impresionismo.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 3 days ago
unit 173
Ello debido a su pintura “Impresión”.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 2 days ago
unit 174
La naturaleza encontraba allí su estado vital y vibraba con alegría.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 3 days ago
unit 175
Esa pintura, representa una vista a primeras horas de la mañana, del puerto “El Havre”.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 3 days ago
unit 176
unit 178
Se alejaba de esa manera, de la belleza clásica e idealizada.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 2 days ago
unit 179
Las sombras estaban anteriormente, pintadas en tonos neutros.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 2 days ago
unit 180
Los impresionistas también las pintaban, ¡coloreadas!
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 2 days ago
unit 183
La Segunda Guerra Mundial, fue más dinámica y no de trincheras.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 2 days ago
unit 184
—Superada esta Segunda Guerra Mundial, sobrevino una Guerra fría en 1949-1957.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 2 days ago
unit 185
Época hostil entre EE.
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unit 186
UU.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks ago
unit 187
y Rusia.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 2 days ago
unit 188
Tampoco vieron pinturas de esa época.
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unit 192
Se encuentra en el Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, en Madrid, España.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks, 1 day ago
unit 194
Una prudente cautela de los gobernantes ha sido necesaria e imprescindible.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks ago
unit 195
La población del mundo no había participado totalmente, en esa Segunda Guerra Mundial.
2 Translations, 2 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 198
—En EE.
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unit 199
UU.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks ago
unit 200
en el año 1951, fue relevado del mando el General Mac Arthur.
2 Translations, 2 Upvotes, Last Activity 3 weeks ago
unit 201
Su propósito era lograr una victoria plena, bombardeando a China.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks ago
unit 202
Así hubiese instado a que interviniese Rusia en apoyo de ella.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks ago
unit 206
El presidente Kennedy al ordenar que la Flota de EE.
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unit 207
UU.
2 Translations, 2 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 208
interviniese con su presencia, evitó que diese lugar a una nueva guerra mundial.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 3 weeks ago
unit 211
—Los hombres no pueden anticipar con exactitud el futuro,.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 212
que fue, es y será casi siempre incierto, muchas veces con perversidad en aumento.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 213
unit 217
¡El mundo completo está plagado de grietas!
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 218
¡Y pese a ello sigue avanzando, para el bien y para el mal!
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 219
—expresó Mario.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 220
Las damas retoman la palabra y continúan con sus recuerdos del viaje a Europa.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 221
—En París, visitar los museos, viendo de cerca, esculturas y pinturas en particular.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 222
¡Nos atrapó a todas!.¡Los recuerdos, levantan los ánimos!.
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unit 223
¡Pareció, muy corto el tiempo disponible para las visitas!.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 225
—comenta Raquel y continúa esta narración, se han puesto de acuerdo en hacerlo así.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 228
unit 229
—dice Marcela—.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 230
¡Ese departamento que alquilamos durante una quincena, fue un acierto!
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 231
—¡Fue una excelente decisión!.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 6 days ago
unit 233
¡Teníamos que dormir lo suficiente, comer algo durante el día y caminar un poco!
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 4 days ago
unit 234
—expresa Elizabeth.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 4 days ago
unit 235
—Traigo algo caliente o fresco, y continuamos con París —dijo Cecilia.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 4 days ago
unit 236
¡Falta un montón!
3 Translations, 2 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 3 days ago
unit 237
Hoy esta reunión será muy larga.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 4 days ago
unit 238
—Les contaré, sobre el día que fuimos al Panteón y a la torre Eiffel.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 4 days ago
unit 239
Ese día, también a una función vespertina en el Moulin Rouge —continúa Elizabeth.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 3 days ago
unit 240
—Escuchar tantos detalles es una magnífica oportunidad,.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 3 days ago
unit 241
para que Mario descanse un momento con sus aportes —dice su esposa Celina.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 3 days ago
unit 242
—Nos estamos enterando que, ¡planificaron muy bien lo que deseaban ver!
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 3 days ago
unit 243
—comenta Ciro.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 3 days ago
unit 244
—Sí, así fue.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks, 3 days ago
unit 245
¡El Panteón, nos sorprendió!
2 Translations, 0 Upvotes, Last Activity 2 weeks ago
unit 246
—comenzó a decir Elizabeth y le cedió otra vez, la palabra a Mario,.
2 Translations, 2 Upvotes, Last Activity 1 week, 6 days ago
unit 247
quién extrajo de su portafolios, otros apuntes que tenía ya preparados.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks ago
unit 248
Así lo había acordado con “las damas”.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks ago
unit 250
—Está situado en el corazón del Barrio Latino de París.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks ago
unit 252
Iba a ser, por una prevista decisión del rey Luis XV, una basílica católica.
3 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 6 days ago
unit 253
La habría dedicado a la patrona de París, Santa Genoveva.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 6 days ago
unit 254
—Son 20 los distritos de París, administrados por sus alcaldes.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 2 weeks ago
unit 255
El distrito del Louvre, en el centro de París, es el número 1.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 6 days ago
unit 256
La numeración sigue un recorrido en el sentido de las agujas del reloj.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 6 days ago
unit 257
—El Panteón está en el 5º distrito.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 6 days ago
unit 258
unit 259
En 1806, Napoleón Bonaparte encontró una solución de compromiso.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 6 days ago
unit 260
Devolvió el templo a la iglesia, pero destinó la cripta a lo que decidiesen los funcionarios.
2 Translations, 2 Upvotes, Last Activity 1 week, 5 days ago
unit 261
Actualmente se encuentra decorado con pinturas y esculturas de ambos orígenes.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 6 days ago
unit 264
Los visitantes que lo deseen cuentan con guías en varios idiomas.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 5 days ago
unit 265
Hay espectáculos de luz y sonido a distintas horas.
2 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 5 days ago
unit 267
unit 269
—Vimos una réplica del péndulo colocada en la planta baja —prosigue Elizabeth—,.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 3 days ago
unit 272
En su mayoría, eran latinoamericanos que hablaban español.
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unit 273
¡Nos servían de guías!
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 3 days ago
unit 274
—Por nuestra cuenta hubiese sido dificultoso ir de un lado a otro.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 3 days ago
unit 276
O para comprender lo que nos contestaban en francés.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 3 days ago
unit 277
—Fuimos a la Torre Eiffel que se abrió al público en mayo de 1889.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 3 days ago
unit 278
Tiene 324 m de altura, incluyendo la antena de radio que está en la cima.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 3 days ago
unit 280
Nosotras subimos a la cima por un ascensor que la conecta con esa planta.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 3 days ago
unit 281
La vista de París es excelente —dijo Elizabeth.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 3 days ago
unit 282
—En la tercera planta había un pequeño apartamento ideado por Eiffel.
1 Translations, 1 Upvotes, Last Activity 1 week, 3 days ago
unit 283
Se distinguían desde la puerta, dos personas de cera junto a un pequeño mueble.
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unit 284
Parecía una sala de recepción para invitados de honor.
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Podrían asemejarse esas réplicas a Gustavo Eiffel y Thomas Edison —agregó.
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—Luego de tomar el té en la segunda planta de la Torre, nos dirigimos al Moulin Rouge.
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Presenciamos la función de ese día, con muy buenos bailarines que danzaban artísticamente.
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—Al día siguiente fuimos al Museo de Orsay, de Rodin y a la Sainte Chapelle.
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En el Orsay admiramos la pintura “Coquelicots”, una de las más famosas de Claude Monet.
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—Se presentó al público en la primera exposición del grupo Impresionista.
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Se cree, es su primera esposa Camille y su hijo Jean.
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El Museo de Orsay, podría decirse es el segundo museo en importancia, luego del Louvre.
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Allí se encuentran, pinturas, esculturas, artes decorativas y arquitectónicas.
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Son significativas sus pinturas impresionistas.
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Hay obras del realismo francés, Courvet, Manet, Millet y Corot, entre los más conocidos.
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Hay obras de Renoir, Cézanne y Gauguin.
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También se exhiben pinturas de postimpresionistas, como Van Gogh.
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Este museo era en un principio una estación de tren.
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Fue abierto al público en 1986.
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—Admiramos, “Las espigadoras”, de Millet, y el “Moulin de la Galette”,.
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Además, entre otras de él, “Dos niñas tocando el piano”.
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Se ve una mujer desnuda en una reunión campestre,.
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fue juzgada en aquellos tiempos, inmoral y provocativa.
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“Olympia”, también de Manet, escandalizó al público y a la crítica oficial.
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—De Van Gogh, es en el Museo de Ámsterdam, donde se encuentran la mayoría de sus obras.
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Van Gogh, gran pintor holandés, siempre fue asistido económicamente, por su hermano Theo.
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Comenzó a pintar a los 27 años y luego vivió 10 años, con una salud mental frágil.
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Vendió un solo cuadro, y su hermano Theo falleció seis meses más tarde.
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—Fue la viuda de Theo quien logró que sus obras fueran reconocidas.
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Prestó pinturas para exposiciones y publicó las cartas de Vincent a Theo.
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—En el Museo Rodin vieron esculturas de Auguste Rodin,.
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considerado el padre de la escultura moderna.
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Construyó moldes de yeso y agua para las reproducciones en bronce.
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La escultura original de 58 cm x 40 cm, tiene 71,5 cm de alto.
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—Rodin ideó esa obra, como una alegoría más de “La puerta del infierno”.
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Esa puerta, representaba principalmente escenas del infierno.
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Una suerte de encuentros de mitología antigua y alegorías de la Divina Comedia.
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Creó modelos y estudios de muchos de sus componentes.
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Son admirados como obras independientes.
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—Camille Claudel fue su colaboradora, musa y amante.
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No consiguió apoyo estatal para realizar grandes obras.
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Solicitó que fuesen incluidas en dicho museo.
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Fue hecha después de su muerte.
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¡Fue la primera residencia parisina de los Reyes de Francia!
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Recuerdos del viaje de cuatro damas a Europa.
París I.
Cecilia, la hija de Tomás que vive con él, había invitado a las reuniones de los segundos viernes de cada mes a Elizabeth, su hermana. También a las esposas de Matías, Mario, Jeremías, Ciro, Carlos, Enrique, Jorge, Julio, Arturo y Schmuel. A partir de ese momento se reunían todos los meses.

Las esposas de Ciro y Jeremías habían hecho un viaje a Europa con Elizabeth y Cecilia. Deseaban compartir los recuerdos de ese viaje. Tenían preparado sus relatos. Mientras esperaban la llegada de todos,. comentaban la tarea que estaban llevando a cabo, Tomás y sus amigos.
Era una tarea compleja ese “mirar hacia atrás”,. describiendo un pasado reciente,. y comentando al respecto, detalles lejanos. Fue más sencillo referirse solamente a algunas circunstancias del pasado con las crónicas de los viajes. Ante la imposibilidad de narrar lo visto y observado, en su totalidad,. pensaron en esos “añadidos” explicativos, a sus relatos. De esta manera los amigos de los viernes y los
lectores del libro podrían imaginarse mejor, los momentos vividos por ellas.
Pretendían también, compartir con Tomás, sus esposos y amigos,. los sentimientos de los días que pasaron juntas,. en las ciudades de los países europeos que visitaron.
Los investigadores de distintas disciplinas, que intentan abarcar el todo,. se encuentran sometidos a limitaciones de tiempo para expresarse. En el planeta Tierra, existieron, existen y existirán, en cada momento, decenas de circunstancias complementarias. Dado el género narrativo, al que pertenece este libro,. unos pocos hechos proporcionan suficiente autenticidad a lo que se desea transmitir.
Pocas y oportunas referencias bastan, para despertar la imaginación de los lectores,. y para ubicar allí esos momentos. Las amigas, habían coincidido, en no distanciarse tanto en el tiempo,. con acontecimientos no bien conocidos.
Aunque un hecho histórico nada tenga que ver, por ejemplo, con algo visto en un museo,. podían ubicar ambos hechos en el tiempo y entrelazarlos con sencillez. Se deseaba expresar circunstancias que otorgasen una suerte de sentimientos más emotivos.
Transformar esos “añadidos” en nuevas experiencias y sentimientos, permitiría distraer a los lectores. Sería como sentirse incluidos en lo que veían en el viaje. Era el deseo primordial de las amigas,. para cuando sus descendientes, en especial los del futuro lejano,. leyeran este libro y comprendieran mejor las narraciones.
Citas de breves momentos de un pasado no tan lejano,.pueden permitir valorar lo visto en forma diferente. En relación con lo sucedido, les confieren un mayor realismo.
Las viajeras han aportado a este libro, breves pasajes parciales, de tiempos algo lejanos. También otros aconteceres, más cercanos. En este capítulo, y los siguientes, hay relatos, citas y añadidos puntuales,. de varias ciudades europeas, aportados por las “damas del viaje”.
Las “damas”, como le gusta a Tomás llamarlas, .trajeron notas muy detalladas y fotos, de lo que habían observado en su viaje. Las van a compartir en las reuniones.
Comienzan con París, allí tomaron un taxi y fueron a un departamento pequeño que habían alquilado previamente, por una quincena. Estaba ubicado entre el Arco de Triunfo y la estación de tren Saint – Lazare, en el bulevar Haussmann. Con mayor precisión entre la Iglesia de Saint Augustin y la estación.
Las señoras de Ciro y Jeremías junto con las hijas de Tomás desean compartir sus vivencias y descubrimientos,. dado el interés de Tomás y sus amigos por conocer las impresiones de sus viajes.
De distintas épocas, de un pasado más remoto y uno más próximo,. incorporaron nuevas informaciones a los textos narrativos. Y mencionan.... ¡Distintos “sabores de significación”!. ¡Ya sabemos que un kilo de azúcar no hará menos salado un océano!. ¡La imaginación, haría su parte!.
En París ubicaron sus equipajes con rapidez, en el departamento citado. Se higienizaron y cambiaron de vestimenta, por una informal. Luego concurrieron casi de inmediato al museo del Louvre. Deseaban ver en primer término, la “Gioconda” y se dirigieron hacia el salón donde creían que estaba. ¡Ni bien entraron al salón, vieron una pintura que les llamó de inmediato la atención!.

—¡El insigne pintor Fernando Víctor Eugenio Delacroix, no pudo ofrecer si así lo hubiese deseado,. el sabor del aire que respiraban! —comenzó contando Cecilia.
—¿Quiénes? —preguntó Jeremías.
—¡Los personajes de su pintura “La libertad guiando al pueblo”! —dijo Cecilia.
—Es una bellísima pintura, y no detectamos esos sabores inexistentes.
—¡Pero, Delacroix con su pincel, había expresado el carácter alegórico de esa pintura e hizo que predominara la admiración!. Despertó sentimientos imperecederos, en nuestra memoria —agregó Raquel.
—La autenticidad puesta de manifiesto en esa pintura nos atrajo. ¡El énfasis puesto por el autor, en lo emocional, y su ardor representativo, la vuelven extremadamente hermosa!. ¡Y convincente, en relación con los hechos ocurridos!. —continuó Cecilia, con sus notas en la mano.
—Habíamos concurrido al museo que posee una de las colecciones de obras de arte más grandes de Europa, para ver en una primera visita, solamente algunas de ellas. Habíamos entrado a ese salón por “la Gioconda”, obra de Leonardo da Vinci. La obra de Delacroix estaba allí. ¡Y nos llamó poderosamente la atención!.
—Desde el año 2005, La Gioconda se expuso en la sala de los Estados, una sala especial del Museo. Ocupa como entonces, el lugar de honor, de la sala en que se encuentre.
—Luego fuimos a ver la “Gioconda”, fue Mona Lisa del Giocondo. Mona es una contracción de Madonna. Su nombre de soltera era Lisa Gherardini, la tercera esposa de Francesco del Giocondo.
—Francesco del Giocondo, su esposo, dio origen a un juego de palabras, al ser llamado ese retrato, uno de los más famosos del mundo, la “Gioconda”. Lo había pintado en Florencia,. Leonardo di ser Piero da Vinci, llamado abreviadamente, Leonardo da Vinci.
—La pintó durante varios años,. desde comienzos del año 1503. Es un óleo sobre tabla de álamo y tiene una dimensión de 77 x 53 centímetros.
—Llaman la atención, la expresión de sus rasgos faciales y en particular su célebre sonrisa. Delicadas gradaciones tonales con sus manos pálidas y alargadas. Todo, dentro de un “esfumado”. Un método pictórico creado por Leonardo, desde finales del siglo XV. Sin contornos que podríamos definir como ásperos, ni transiciones expuestas, dentro de un sombreado sutil —lee Cecilia de sus notas.
—Leonardo prefería pintar al atardecer logrando efectos lumínicos especiales. Nunca entregó esta obra a su cliente. La llevó consigo a Milán en 1506,. y a Roma donde obtuvo trabajo de los Medici. Luego a Bolonia, Venecia y en 1516, a Amboise, Francia. Entre sus posesiones predilectas, pinturas, dibujos y manuscritos, la “Gioconda” era su preferida.

—¿Recuerdan, lo que les dije, luego de ver La Gioconda?. —comenta Elizabeth—. Habíamos visto en el Colegio de enseñanza secundaria, las obras de pintura y de escultura famosas en el mundo. ¡Y estábamos ansiosas por conocer las que estuviesen en el Louvre, y comenzar ese día con solo tres!
—Ellas, estaban en nuestra memoria y pudimos observarlas detenidamente. ¡Fue una sensación distinta, maravillosa, el verlas de muy cerca!.
—¡Una cosa es una reproducción y otra cosa es observar esa misma obra,. a una distancia menor a dos metros!
—La impresión que percibimos al ver así esta obra, por primera vez, nos indujo a recordar nuestro planificado viaje. Él nos depararía muy gratas e impactantes sensaciones. ¡Haría la vida más agradable, bella, digna y valiosa, para nuestro gusto!.
—¡Era “La Gioconda”! —dice Cecilia.
—Conocida de antemano, y fácilmente reconocible al observarla ahora. ¡Desde tan cerca!. Sabíamos que … ¡Sería muy emotivo!. ¡Entrar a un Museo como el Louvre y ese día ver solamente tres obras!. Entre muchos cientos de obras famosas,. de pintores y escultores también célebres,. parecía no tener mucho sentido. Sin embargo.... ¡Era parte de nuestra planificación!. Deseábamos ese día, luego de observar “La Gioconda”, ver dos esculturas.
—¡Una, la bellísima “Victoria de Samotracia”!.
—Es una escultura de 2,7 metros. Una mujer, que aletea sobre un mármol, y simula ser la proa de una nave. Tallada en mármol blanco, hacia el año 190 a. C.
—En la mitología griega, representa a Niké,. la diosa mensajera de la Victoria, símbolo de las victorias navales. Fue hallada próxima a una isla griega de Samotracia,. al norte del mar Egeo. Habrían triunfado en una batalla enfrentando las naves del rey de Siria, Antioco III.
—¡Otra, la “Venus de Milo”!., una estatua de una mujer sin brazos, esculpida con pocos años de diferencia. ¡Quizás la escultura griega más famosa, por su perfección helenística! .—añade, Cecilia.
—Estaba semienterrada en una isla,. cuando se la encontró a comienzos del siglo XIX. Se desconoce el escultor y quienes la ven, admiran especialmente, su torso suave y los pliegues de la túnica que cubre parte de su cuerpo. Tenía los dos brazos, cuando el oficial francés Dumont inició los trámites para que fuese adquirida por Francia. Fue puesta en un barco francés que atacaron los turcos, y allí perdió los brazos.

—Al salir del Louvre, deseaban ver ese día en el Museo Marmottan Monet la pintura “Impresión”, ¡de Claudio Oscar Monet!. Al día siguiente irían al pabellón de la Orangerie, para admirar otras obras suyas. Allí, están los nenúfares, plantas acuáticas de flores blancas.
—Hacia 1890 Monet, había tenido éxito en las exposiciones. Con un mejor estado económico, pudo adquirir una vivienda en Giverny. Dos años más tarde se casó con Madame Hoschedé, los dos eran viudos.
—Había diseñado un jardín con un lago artificial y un puente japonés, frente a su casa. En sus últimos años, sentado en una barca en dicho lago,. hizo numerosas pinturas.
—En sus últimos 15 años, y normalmente triste por el fallecimiento de su segunda esposa, pintaba muy poco. Tuvo también, una operación de cataratas. Donó esos lienzos al Estado francés. Fueron colocados en el pabellón de la Orangerie, en las Tullerías.
—Previo a la ida a Giverny habíamos observado esas obras,. en L’Orangerie. Pudimos conocer de donde procedía la visión y la inspiración que tuvo para pintarlas.
—Al regresar ¡Tú Elizabeth, debías comprar en ese negocio próximo al departamento, pizzas!. ¡También una botella de vino tinto, que disfrutaríamos en el cuarto!. Trajimos vajilla, cubiertos y copas, además de un mantel y servilletas. También compra medio kilo de helado de los gustos que quisiéramos. ¡La cena en nuestro departamento no resultará tan costosa!. Al Louvre podríamos volver otro día —recuerda Marcela,. lo que Cecilia le dijo a su hermana Elizabeth, sonriendo al contarlo.
—¿A Giverny, fuimos en tren o en ómnibus?. No recuerdo ese viaje, entre todos los que hicimos —pregunta Raquel.
—Fuimos en tren, desde la estación Saint - Lazare —contesta Cecilia y añade.
—Creo que, menos de una hora, insumió el viaje. Al regreso fuimos a ver, con mayor atención, esa estación de París. Es un tema que Monet, pintó varias veces. El humo reinante y el vapor de las locomotoras lo atraían. La estación está allí y vimos una de esas pinturas, en una larga segunda visita al Louvre. Un contexto idéntico al que vimos, de cerca, ofrecía esa pintura del museo.
—Mario, ¿Puedes leernos lo que hemos acordado que indagaras, en tu biblioteca?. —dijo Cecilia. —Monet estuvo ligado íntimamente al impresionismo. En 1874, un grupo de artistas independientes expuso sus pinturas y fueron llamados despectivamente “Impresionistas”. Ello debido a su pintura “Impresión”. La naturaleza encontraba allí su estado vital y vibraba con alegría. Esa pintura, representa una vista a primeras horas de la mañana, del puerto “El Havre”. Es un contraste de colores naranja y azul con pinceladas breves y colores brillantes, en 48 x 63 cm.
—Fue el pintor impresionista más constante, captando momentos fugaces con hermosos efectos lumínicos. Se alejaba de esa manera, de la belleza clásica e idealizada. Las sombras estaban anteriormente, pintadas en tonos neutros. Los impresionistas también las pintaban, ¡coloreadas! Las apariencias de la fugacidad de las vibraciones de luz en la atmósfera fluctuante... ¡Tenían su representación, hasta en las sombras!
—En relación entre el arte y las guerras, en los museos que visitaron, no existen o son pocas, las pinturas de grandes acontecimientos bélicos de los últimos siglos. La Segunda Guerra Mundial, fue más dinámica y no de trincheras.
—Superada esta Segunda Guerra Mundial, sobrevino una Guerra fría en 1949-1957. Época hostil entre EE. UU. y Rusia. Tampoco vieron pinturas de esa época.
—En 1937, en un cuadro muy famoso; “Guernica”, sobresale la lúcida personalidad de Picasso, en la pintura. Siempre resistente a todos los cánones y convenciones, pese a la ilimitada capacidad para expresar sus sentimientos. Este temple sobre tela, de 3,51 x 7,82 metros es un testimonio del horror de la Guerra Civil española, previa a la Segunda Guerra Mundial. Se encuentra en el Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, en Madrid, España.
—Posteriormente a la Segunda Guerra Mundial, existió la posibilidad de un aniquilamiento atómico mutuo. Una prudente cautela de los gobernantes ha sido necesaria e imprescindible. La población del mundo no había participado totalmente, en esa Segunda Guerra Mundial.
—Hubo también, otros hechos de una posible mayor importancia mundial, sin estar reflejados en obras de arte, pinturas en particular. La guerra de Corea en 1950 -1951, puso a prueba el cómo evitar una destrucción del mundo, casi total.
—En EE. UU. en el año 1951, fue relevado del mando el General Mac Arthur. Su propósito era lograr una victoria plena, bombardeando a China. Así hubiese instado a que interviniese Rusia en apoyo de ella. En la actualidad varios países poseen proyectiles capaces de transportar a grandes distancias, componentes atómicos de enorme potencial de destrucción.
—La tregua de Corea permitió una vuelta a una pequeña, y aparente normalidad, que podríamos calificarla ahora, como total e inequívocamente ausente, en un futuro incierto.
—En la década del 60, Cuba con Castro, y Rusia con Kruschev, crearon un nuevo gravísimo problema. El presidente Kennedy al ordenar que la Flota de EE. UU. interviniese con su presencia, evitó que diese lugar a una nueva guerra mundial.
—Las fotografías, videos breves y películas, con su instantaneidad, reemplazaron a la pintura. La belleza creativa del antiguo pincel ha sido desplazada por una lente, más dura como expresión de la realidad, pero instantánea y sencilla de comunicar de inmediato.
—Los hombres no pueden anticipar con exactitud el futuro,. que fue, es y será casi siempre incierto, muchas veces con perversidad en aumento. Los adelantos científicos y tecnológicos son usados para el bien o para el mal, para ambos fines. Conflictos de la beligerancia futura podrían hacer desaparecer el planeta Tierra —Mario finaliza de leer el trabajo acordado y añade un comentario.
—Los hechos y la información resultante de distintas líneas editoriales tienden a hacer muy complejas las relaciones en la sociedad. Se torna difícil ofrecer una generalización que satisfaga a todos los países, gobernantes y personas de este conflictuado planeta. ¡El mundo completo está plagado de grietas! ¡Y pese a ello sigue avanzando, para el bien y para el mal! —expresó Mario.

Las damas retoman la palabra y continúan con sus recuerdos del viaje a Europa.
—En París, visitar los museos, viendo de cerca, esculturas y pinturas en particular. ¡Nos atrapó a todas!.¡Los recuerdos, levantan los ánimos!. ¡Pareció, muy corto el tiempo disponible para las visitas!. ¡Pasaba tan rápido, como pasarían de rápido las aguas de un arroyo, que refrescara nuestras visiones con solo mirarlas, en una tarde ideal de primavera! —comenta Raquel y continúa esta narración, se han puesto de acuerdo en hacerlo así.
—El Moulin Rouge, con bellísimas revistas musicales y muchas bailarinas, los museos del Louvre, d’Orsay, de Rodin, el Pompidou. Súmenle, la Torre Eiffel, los Inválidos, la Catedral de Notre Dame, estaban en nuestra planificación —añade.
—No olvidemos, la Cité, la Conciergerie, la Sainte Chapelle, Giverny... ¡Todo fue muy hermoso! —dice Marcela—. ¡Ese departamento que alquilamos durante una quincena, fue un acierto!
—¡Fue una excelente decisión!. ¡Y también levantarse un poco más tarde, tomar un buen desayuno y hacer un Paseo por los Campos Elíseos!. ¡Teníamos que dormir lo suficiente, comer algo durante el día y caminar un poco! —expresa Elizabeth.
—Traigo algo caliente o fresco, y continuamos con París —dijo Cecilia. ¡Falta un montón! Hoy esta reunión será muy larga.
—Les contaré, sobre el día que fuimos al Panteón y a la torre Eiffel. Ese día, también a una función vespertina en el Moulin Rouge —continúa Elizabeth.
—Escuchar tantos detalles es una magnífica oportunidad,. para que Mario descanse un momento con sus aportes —dice su esposa Celina.
—Nos estamos enterando que, ¡planificaron muy bien lo que deseaban ver! —comenta Ciro.
—Sí, así fue. ¡El Panteón, nos sorprendió! —comenzó a decir Elizabeth y le cedió otra vez, la palabra a Mario,. quién extrajo de su portafolios, otros apuntes que tenía ya preparados. Así lo había acordado con “las damas”.
—Es un Panteón, una construcción con cúpula, un lugar sagrado de la República —dice Mario, al leer sus apuntes.
—Está situado en el corazón del Barrio Latino de París. La asamblea legislativa de la Revolución de 1789 dispuso en 1791, crear en el quinto distrito, un templo republicano. Iba a ser, por una prevista decisión del rey Luis XV, una basílica católica. La habría dedicado a la patrona de París, Santa Genoveva.
—Son 20 los distritos de París, administrados por sus alcaldes. El distrito del Louvre, en el centro de París, es el número 1. La numeración sigue un recorrido en el sentido de las agujas del reloj.
—El Panteón está en el 5º distrito. De hecho, se enfrentaron quienes deseaban una basílica contra los que deseaban un templo republicano. En 1806, Napoleón Bonaparte encontró una solución de compromiso. Devolvió el templo a la iglesia, pero destinó la cripta a lo que decidiesen los funcionarios. Actualmente se encuentra decorado con pinturas y esculturas de ambos orígenes. Están las monárquicas y las cristianas como así también, las esculturas y pinturas dedicadas a los revolucionarios de 1789.
—Detrás de la fachada de la Basílica de Santa Genoveva, se ve la cúpula del Panteón, de 83 metros de altura. Los visitantes que lo deseen cuentan con guías en varios idiomas. Hay espectáculos de luz y sonido a distintas horas.
Allí se encuentran los restos de Voltaire, Rousseau, Zola, Jean Jaurès, Víctor Hugo, Alejandro Dumas, Jean Moulin, héroe de la resistencia francesa durante la Segunda Guerra Mundial. También Pierre y Marie Curie entre otras sepulturas de honor, de personalidades de enorme mérito. El científico Léon Foucalt con un péndulo, desde lo alto de la construcción, demostró el movimiento de rotación del planeta Tierra —“las damas”, agradecen a Mario por su colaboración.
—Vimos una réplica del péndulo colocada en la planta baja —prosigue Elizabeth—,. y como acotación al margen, deseo destacar dos cosas: una, los libros y diccionarios que llevamos, que fueron de muchísima utilidad;. y la otra... ¡muy importante!, ¡los choferes de los autos de alquiler que tomábamos para desplazarnos!. En su mayoría, eran latinoamericanos que hablaban español. ¡Nos servían de guías!
—Por nuestra cuenta hubiese sido dificultoso ir de un lado a otro. Ninguna hablaba bien francés, como para preguntar a alguien, sobre cualquier cosa que necesitáramos saber. O para comprender lo que nos contestaban en francés.
—Fuimos a la Torre Eiffel que se abrió al público en mayo de 1889. Tiene 324 m de altura, incluyendo la antena de radio que está en la cima. Cecilia, a quién no le gustan las alturas, se quedó en la segunda planta para tomar un té. Nosotras subimos a la cima por un ascensor que la conecta con esa planta. La vista de París es excelente —dijo Elizabeth.
—En la tercera planta había un pequeño apartamento ideado por Eiffel. Se distinguían desde la puerta, dos personas de cera junto a un pequeño mueble. Parecía una sala de recepción para invitados de honor. Podrían asemejarse esas réplicas a Gustavo Eiffel y Thomas Edison —agregó.
—Luego de tomar el té en la segunda planta de la Torre, nos dirigimos al Moulin Rouge. Presenciamos la función de ese día, con muy buenos bailarines que danzaban artísticamente. Había champagne, para quienes eligiesen una mesa en una suerte de platea, próxima a la pista, donde se desarrollaba el espectáculo. Al ingresar, había una pintura de la bailarina, la Goulue de Toulouse Lautrec —dijo Elizabeth, mirando sus apuntes.
—Al día siguiente fuimos al Museo de Orsay, de Rodin y a la Sainte Chapelle. En el Orsay admiramos la pintura “Coquelicots”, una de las más famosas de Claude Monet.
—Se presentó al público en la primera exposición del grupo Impresionista. Esta pintura de Coquelicots (“Las amapolas”, de Argenteuil), muestra a una mujer y un niño en un paseo por el campo en un día de verano. Se cree, es su primera esposa Camille y su hijo Jean.
—Las amapolas en un primer plano son de un color rojo intenso, que contrasta a su derecha, con un verde azulado. También de Monet, está la pintura “Ninfeas azules”, nombre que, en botánica, significa nenúfares. El Museo de Orsay, podría decirse es el segundo museo en importancia, luego del Louvre. Allí se encuentran, pinturas, esculturas, artes decorativas y arquitectónicas. Son significativas sus pinturas impresionistas. Hay obras del realismo francés, Courvet, Manet, Millet y Corot, entre los más conocidos. Hay obras de Renoir, Cézanne y Gauguin. También se exhiben pinturas de postimpresionistas, como Van Gogh. Este museo era en un principio una estación de tren. Fue abierto al público en 1986. Se puede llegar con el metro o tomando un crucero por el Sena, pues se encuentra en su orilla izquierda.
—Admiramos, “Las espigadoras”, de Millet, y el “Moulin de la Galette”,. un alegre baile al aire libre con toques de luz que dan la sensación de movimiento y de vida, de Renoir. Además, entre otras de él, “Dos niñas tocando el piano”.
—De Van Gogh, postimpresionista, vimos: “La iglesia de Auvers sur Oise”, “El cuarto de Van Gogh en Arlés” (una de las tres versiones con este título), y un “Autorretrato”, de los tantos que pintó. De Manet, “Almuerzo sobre la hierba”, rechazada en su época, en un salón oficial, por considerársela escandalosa. Se ve una mujer desnuda en una reunión campestre,. fue juzgada en aquellos tiempos, inmoral y provocativa. “Olympia”, también de Manet, escandalizó al público y a la crítica oficial. Fue definida despreciativamente como “una odalisca de vientre amarillo”, —continúa Elizabeth.
—De Van Gogh, es en el Museo de Ámsterdam, donde se encuentran la mayoría de sus obras. Van Gogh, gran pintor holandés, siempre fue asistido económicamente, por su hermano Theo. Comenzó a pintar a los 27 años y luego vivió 10 años, con una salud mental frágil.
—Pintó en Arlés, junto a Paul Gauguin con quien tenía diferentes puntos de vista respecto del arte. Tanto que, habiéndole amenazado Gauguin con irse, se cortó una oreja luego de una discusión. Vendió un solo cuadro, y su hermano Theo falleció seis meses más tarde.
—Fue la viuda de Theo quien logró que sus obras fueran reconocidas. Prestó pinturas para exposiciones y publicó las cartas de Vincent a Theo. Vincent, pintó más de 30 autorretratos, para poder hacerlo siempre que quería, sin tener que pagar a un modelo.
—En el Museo Rodin vieron esculturas de Auguste Rodin,. considerado el padre de la escultura moderna. El museo está en el distrito 7 y contiene varios centenares de hermosas esculturas realizadas en mármol blanco, bronce, pasta de vidrio y cerámica.
—Contemporáneo del impresionismo, hacía un modelado en barro cocido de su boceto, que luego trasladaba al bronce. Sus obras más famosas, “El pensador”, y “El beso” están emplazadas en dicho museo. El primer modelo de “El pensador”, se comenzó en terracota y posteriormente fue esculpido. Construyó moldes de yeso y agua para las reproducciones en bronce.
Una copia de “El pensador”, hecha en Francia, se encuentra en la Argentina, en la Plaza del Congreso. Rodin habría manifestado que se trataba de un hombre rudo y laborioso, que en plena tarea se detiene a pensar. Un hombre desnudo sentado en una roca, con los pies recogidos y la cabeza apoyada en el dorso de su mano derecha. La escultura original de 58 cm x 40 cm, tiene 71,5 cm de alto.
—Rodin ideó esa obra, como una alegoría más de “La puerta del infierno”. Esa puerta, representaba principalmente escenas del infierno. Una suerte de encuentros de mitología antigua y alegorías de la Divina Comedia. Creó modelos y estudios de muchos de sus componentes. Son admirados como obras independientes.
—Camille Claudel fue su colaboradora, musa y amante. Se dice que, a partir de incontables promesas no cumplidas por parte de Rodin, tomó la decisión de abrirse camino hacia una vida independiente, al alejarse del maestro. No consiguió apoyo estatal para realizar grandes obras. Rodin donó sus obras al Estado, a cambio de la exhibición de su colección, en un museo a su nombre.
—Fue el hermano de Camille Claudel, quien donó al Estado, cuatro obras de gran tamaño, realizadas por ella. Solicitó que fuesen incluidas en dicho museo. Respecto de “La puerta del infierno”, Rodin jamás vio la fundición de ella. Fue hecha después de su muerte. Actualmente existen ocho copias de esa puerta a partir de su propuesta en yeso— finaliza Elizabeth.

—Fuimos a continuación a la isla de la Cité, en el río Sena, que cruza a París casi por el centro —comienza Cecilia a leer sus apuntes.
—Allí se han encontrado vestigios de habitantes, de 5000 años a. C. Al comienzo de la Edad del Hierro, numerosos objetos y construcciones demuestran la presencia romana.
—Visitamos la Sainte Chapelle, en la cual la Iglesia Inferior tiene apenas siete metros de altura. Presenta tres naves, la central enorme en comparación con las laterales pequeñas. La Iglesia Superior de 17 m de ancho por 20 m de alto, tiene una sola nave. Prácticamente carece de paredes, pero posee grandes vitrales de 15 m de altura. Es una capilla cristiana palacial de estilo gótico y casi 80 m de altura —añadió Cecilia—. Ese día, estaba usando un bastón por un dolor de rodillas, y había muchos escalones en una escalera al frente.
—Muy atentos, los guardas, nos guiaron al edificio de al lado, una dependencia del Ministerio de Justicia. Allí entramos a un ascensor que usaban las autoridades desde hacía ya mucho tiempo. Ese ascensor nos llevó a un corredor privado que nos puso en el piso superior de la capilla. ¡Recorrimos el pasadizo que usaron autoridades de distintas épocas, y vimos los bellísimos vitraux!
La Sainte Chapelle y la Conciergerie, son los únicos restos auténticos del Palacio de la Cité, palacio real de los Capetos. Llegaron al trono, a finales del siglo X, cuando era una antigua fortaleza. Con el correr de los siglos, del X al XX, las ampliaciones de los edificios, incendios reiterados y restauraciones han alterado el aspecto que entonces presentaba.
—La Conciergerie con sus suntuosas salas de la época de Felipe el Hermoso, se presta a una evocación global de la historia del palacio de la Cité. ¡Fue la primera residencia parisina de los Reyes de Francia!